Confinement Bis Ch. 03
Datte: 14/05/2025,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bydominic47, Source: Literotica
... concentrant il le voit palpiter, un signe qu'il interprète avec son cerveau malmené comme une invite à la découverte. Il se sent très à l'étroit dans son boxer...
Machinalement il enserre son bâton dur comme du bois. L'instant n'est plus à la retenue, la bienséance n'a plus lieu d'être, d'ailleurs rien qu'en jetant de temps en temps un œil sur ses voisines il remarque que toutes les deux sont comme lui, elles ont basculé dans un autre univers, un espace ou la pudeur est proscrite, un temps ou la luxure s'affranchit de toutes les barrières. Hortense est rouge écrevisse, une main plongée dans sa fourche, quant à Julie elle respire sporadiquement, le téléphone bien en main pour capter l'essentiel.
"clic clac ... clic clac", la sarabande continue. Anne-Ka se contorsionne, râle, crie...
« Tu as intérêt à tenir la position » exige Emma en accompagnant sa phrase par un petit coup de pied lui signifiant de garder le compas largement ouvert.... « Tu m'entends bien? »
« Ouuii, » répond Anne-caroline avec une petite voix cassée.
Emma reprend la fessée, toujours aussi magistrale. Et puis comme pour vérifier son travail elle change le tempo, elle alterne deux trois claques sèches avec une pause le temps de poser sa main sur les hémisphères, sur le haut des cuisses, le bas des fesses, pour constater l'effet sur la peau. En retirant sa main tantôt elle la laisse glisser machinalement sur l'intérieur des cuisses, ou furtivement elle frôle la pulpe de l'abricot en ...
... effervescence.
Avant la mini pause, les fesses d'Anne-Ka étaient déjà précuites aussi les sensations maintenant sont différentes, rien que les mains simplement apposées sur les fesses la font sursauter. Au début les frôlements de ses zones sensibles ainsi que les mini attouchements électrisent tout le corps d'Anne-ka puis, quand ils se répètent, un étrange sentiment se propage insidieusement dans son ventre. Son corps a sa propre vie, il la trahit, sa vulve n'est plus un abricot sec, il s'éveille, il s'humidifie et cet état prend timidement puis doucement et enfin inexorablement une ampleur insoupçonnée. Elle ne pense plus qu'à cela, elle est mortifiée : "Pourvu que personne ne s'en rende compte".
Cela n'a malheureusement pas échappé à Olivier. Il doit d'ailleurs se faire violence pour ne pas se lever car les flagrances d'Anne-Ka se rependent dans la pièce, le parfum particulier d'une jeune femme excitée envahit ses narines et comme si cela n'était pas suffisant, il remarque qu'une excroissance est fortement visible au milieu des nymphes. Mais là, il reste bouche bée, il n'a jamais vu un appendice aussi long. Ce bout de chair ne cesse de se développer en écartant tout sur son passage, le bel abricot n'arrive pas à le cacher, il est fascinant. C'est lui le maitre des lieux.
Olivier devient fou. Il se voit le sucer, le mâchouiller, l'aspirer à la rendre folle. Et puis enfoncer son vi dans cette femelle, la pénétrer sans fioriture et la faire crier, non, la faire "gueuler" à tue ...