Fiction n°1, suite
Datte: 13/05/2025,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Amyolo, Source: Hds
Une grande claque fit onduler tout mon opulent fessier.
-C'est fini ! Tu as du potentiel, ils vont bien s'amuser.
L'air fier elle m'ordonna d'aller l'attendre à côté du porte manteau, je retournais donc dans l'entrée en bas de l'escalier, j'entendais de l'eau couler et une raclette sur le carrelage dans la pièce de préparation.
-Tu vois, ici on doit faire le sale boulot, car il faut bien que tu te rende compte que c'est un privilège pour toi.
Je ne la voyais pas, je ne voyais qu'un drap en une masse faisant ma taille avancer sur un diable à roulette, tandis qu'elle arrivait à côté de l'escalier.
Elle retira le tissu et je vit un arceau de balançoire, muni à la place de deux menottes, deux sangles sur la base certainement pour les chevilles, et un élégant marche pied qui montait presque devant les menottes, le tout en une structure soudée et unique.
Elle cala les roues, me fit monter sur l'estrade, et entreprit de tout simplement m'attacher les 4 membres, elle repartit pour apporter une sorte de poutre surmontée d'un coussin rigide et rectangulaire qu'elle me cala sous le ventre.
Bras suspendus, chevilles sanglées, le tout écarté et le fessier très cambré, j'étais tout à fait accessible pour la soirée qui m'attendais, même l'échelle était savamment étudiée, on pouvait aussi bien s'y installer pour une fellation ou un cunnilingus assis, debout, de dos pour se faire lecher l'oignon...
D'ailleurs sans un regard direct pour moi, Candice vint se jucher sur ...
... l'échelle cuisses écartées, ouvrit une fermeture éclair qui partait de son nombril jusqu'à sa raie, et m'attrapa ma natte pour plaquer mon visage sur sa vulve au pubis plat, au clitoris énorme et arrogant.
Alors qu'elle m'utilisait comme un vulgaire sextoy, comme du mobilier, je lapais avec ardeur sa cyprine odorante, m'avoir ainsi humiliée l'avait apparemment beaucoup émoustillée... Je lèche à présent comme une chienne qui laperait un met délicieux, frénétiquement, tandis que mes cheveux sont enroulées dans son poing et que son bassin qui ondule étale sa chatte sur toute ma gueule béante, ça glisse tout seul dans des bruits de succions malsains, être ainsi utilisée me rend sauvage et docile, nous sommes toutes deux à nos places respectives, elle grogne de plaisir et je jappe d'excitation...
-Il suffit ! Tu n'auras pas l'honneur de boire ma pisse tu dois rester propre pour l'arrivée des convives.
Sur ses paroles j'entends raisonner les coups de 7h dans ce petit château aux murs de pierres, et du coin de l'œil puisque je suis attelée de profil à l'immense porte d'entrée, je voit major Babe faire son apparition la main sur la clanche, dans la même posture théâtrale qu'iel m'avait accueilli, invitant à entrer une foule d'hommes et de femmes précieux dans leurs accoutrement et leurs manières, parfois masqué, parfois en latex, un énorme monsieur en fauteuil roulant habillé d'une queue de pie fendue ne porte tout simplement pas de pantalon ni de sous vêtements d'ailleurs, ...