Fantasme 3
Datte: 12/05/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Dan48, Source: Hds
... sur le dos les bras et les jambes écartés attendant une caresse qui ne vient pas. C’est dure la vie de chien. Ma mère passe la tête pour qu’on aille à table, elle me voit quémander cette caresse, elle ne sait pas si elle doit se fâcher ou rire. Elle sourit moqueuse, et dit : « Claude, ta chienne attend ». Il se penche me voie, hésite, pour lui, je reste plus sa fille plus que sa chienne, il a du mal, je vois les larmes dans ses yeux, sa main descend sur mon nombril, puis vers mon sexe et le caresse. Il sait que je suis en voie de guérison, mais que, depuis quelques temps, un fantasme masochiste me travaille. On en a parlé avec le docteur, qui a conseillé de laisser faire, de ne pas hésiter à faire mal, mais en prenant des précautions pour éviter les blessures. Mes parents étaient présents, quand j’ai expliqué, il y a quinze jours, à Jérémy, le fils des voisins comment caresser mon ventre, et surtout me tripoter violement le bouton. Entre deux doigts, Claude attrape mon bouton, je décalotte. Je tends mon bassin pour l’offrir. Mon beau-père sait ce que je veux mais il n’aime pas cela, mais il le pince en le tordant. Mes mains sur ma bouche, je gémie. Il tord et pince plus fort. Je tremble, jouie, et cris de douleur. Je maintiens mon bassin relevé, tendu vers cette main qui me martyrise. Il caresse mon bouton doucement maintenant, je lui dis dans un gémissement de plaisir, « Recommences plus fort, fais-moi mal, punis ta salope de chienne en chaleur. Pince-le. Je t’en prie. » ...
... Désabusée, ma mère assiste à l’échange, et dis « vas-y Claude satisfait là qu’on puisse manger » je remercie ma mère d’un regard, mon père pince et tord mon bouton. La douleur est si intense qu’aucun son ne sort de ma bouche. Mes cuisses se serrent contre la main qui me torture, je suis secouée des spasmes de mon orgasme. Malgré ma position, bassin soulevé, les lèvres de ma chatte s’humidifient et coulent, j’ai le haut des cuisses trempées. J’ai l’impression de n’avoir jamais autant mouillé. La douleur a été si forte que je ne l’ai pas senti me lâcher. Je repose mes fesses au sol, je récupère les cuisses écartée, « Merci, j’ai mérité cette punition, demain je te montrerai le martinet, vous me fouetterez tous les deux. » Péniblement je me mets en levrette puis debout. Je vais à la cuisine chercher les plats et les boissons. Je les dispose sur la table entre mes parents. Je pose la gamelle du chien à côté, en disant « Pour vos déchets, mon repas de tout à l’heure » Ils me regardent avec reproche. Je reprends « s’il te plait traites moi comme je le dois en chienne en chaleur sinon je n’évoluerais pas, je pourrai devenir une chienne lubrique, et je m’offrirai au premier venu, tous les jours. Je ne veux pas devenir ce genre de salope. Je veux reprendre pied. » Je me baisse. Je me mets à genou à côté de la table bien en vue en position d’attente et d’exposition de mon corps et j’attends. Ils posent quelques restes de leurs assiettes dans ma gamelle, mais surtout des beaux morceaux. Il ...