L'aveu de Margaux
Datte: 12/05/2025,
Catégories:
ffh,
Oral
pénétratio,
couplea3,
Auteur: Pascal L'arc, Source: Revebebe
... en feu.
Amusé d’apprendre que mon initiative avait eu le succès escompté, je porte la main à la nuque de ma femme pour la lui masser pendant qu’elle s’occupe de la vulve de Margaux. Mes allées et venues dans son vagin la poussent néanmoins plusieurs fois à s’arrêter, laissant échapper des râles de plaisir. Je suis sur un rythme calme, me ménage pour durer. Quelques minutes après, je m’enthousiasme de voir Margaux jouir brusquement, cédant au plaisir procuré par les coups précis et subtils de langue de son aînée.
La jeune fille retombe dans le lit, digérant son plaisir. Elle rouvre plusieurs fois les yeux pour m’observer, en plein travail, pecs et abdos tendus. Je suis profondément plongé dans le vagin de Sophie et, les mains contre le lit, celle-ci encaisse les coups de mon bassin qui s’abattent sur ses fesses. Ma queue large évolue dans sa mouille abondante, qui coule maintenant le long de ses cuisses. Sophie ahane, les yeux clos, la tête posée sur le bas-ventre de Margaux, hallucinée par la scène. Quelques minutes après, la jeune femme s’est reprise et, se redressant, tend sa main vers moi, m’appelle, les lèvres pincées, ses yeux pleins de désir charnel. Je me retire de Sophie, l’aidant à se relever, puis me positionne au-dessus de Margaux qui recule au milieu du lit. Je décèle néanmoins dans son regard de l’inquiétude. Elle me chuchote en me passant un doigt sur la joue :
— Tu es énorme, sois doux s’il te plaît.
Me positionnant au-dessus d’elle, je ...
... l’embrasse sur la bouche, les joues, les seins. Offerte ainsi, elle est à croquer. Mes mains parcourent son corps musclé et, prenant mon sexe en main, je le guide contre sa vulve, ouverte, excitée. Ses belles et longues jambes bronzées, ouvertes pour m’accueillir, me plaisent terriblement. Ses petites lèvres sont courtes, déjà rougies par le travail de Sophie allongée à nos côtés. Positionné entre ses cuisses, je pousse doucement ma queue en elle. Sentant l’étroitesse actuelle de son vagin, je dois prendre mon temps. Margaux me fixe, ne détourne la tête que quand Sophie, posant un doigt sur son nez, réclame un baiser. De mon côté, je profite de ses beaux seins, caresse ses larges aréoles, prenant une pause dans la pénétration pour mettre en bouche alternativement l’un et l’autre mamelon, tous deux gonflés, dardés par l’action de mes baisers.
Ma verge est en elle, à mi-chemin. J’y suis confortable, terriblement bien. Margaux s’agrippe à moi brusquement et, quand je lui demande si je lui fais mal ou si suis allé trop vite, elle me répond que non et soulève son bassin pour m’encourager à progresser. M’agrippant, elle lâche en grimaçant :
— Je n’ai plus l’habitude, j’ai surtout connu des femmes dernièrement. Continue, c’est bon…
Sophie lui caresse la tête et Margaux prend sa main, lui saisit un doigt pour le mettre en bouche, le suçant suggestivement. Résistant à l’excitation que provoque cette scène, j’arrive au fond de Margaux et commence de lents allers-retours pleins de ...