1. L'aveu de Margaux


    Datte: 12/05/2025, Catégories: ffh, Oral pénétratio, couplea3, Auteur: Pascal L'arc, Source: Revebebe

    ... adoration. Puis je continue mon exploration érotique en passant par son ventre musclé jusqu’à ses hanches, au toucher ferme et velouté.
    
    Sophie, dont les seins se font dévorer par la jeune affamée, me sourit, l’air malicieux. Je sais qu’elle ne porte pas de soutien-gorge sous sa robe. Elle demande à la jeune fille :
    
    — Tu peux m’aider à me déshabiller ?
    
    Margaux obéit avec empressement, se place dans son dos et, faisant glisser les bretelles, dézippe la petite fermeture éclair, relâchant le tissu qui glisse au pied de Sophie. L’impudente ne porte pas de culotte non plus. Je souris. Je n’avais pas encore remarqué la délicate chaîne en or qu’elle porte à la cheville, à laquelle pend un somptueux jade travaillé en forme de goutte d’eau. La vue de son beau et discret triangle pubien me fait durcir davantage encore, à l’extrême. Choquée quelques secondes de voir brusquement apparaître cette somptueuse paire de fesses, Margaux finit par se ressaisir et, se collant au dos de Sophie, commence à lui caresser ses hanches veloutées. Elle s’aventure bientôt sur son ventre délectable, puis lui passe la main à travers les cuisses légèrement écartées, cherchant à effleurer sa vulve. Elle embrasse dans le même temps la nuque de Sophie dont les grands yeux bleus me fixent, gourmands.
    
    Sophie sait se montrer cruelle quand la nécessité survient de faire monter le désir. S’arrachant aux ardentes caresses de la jeune fille, ma femme s’approche d’un pas décidé et colle bientôt sa poitrine ...
    ... contre moi. Ses lourds seins s’écrasent voluptueusement contre mes pectoraux. Je sens tout son désir dans ses tétons dardés. Sa bouche s’abat sur la mienne, l’embrasse voracement. Puis elle me repousse gentiment contre le lit, bien décidée à me sucer. Contraint par ce délicieux assaut, je m’assieds. Ses mains sont déjà sur la boucle de ma ceinture et je l’aide à me déshabiller, sans perdre de vue Margaux qui, immobile entre ma femme et moi, semble tétanisée par la vue des fesses offertes de Sophie, laquelle feint de l’ignorer momentanément. Mon pantalon glisse enfin à terre et Sophie, avide, engloutit mon sexe raide d’excitation, entame une fellation énergique. D’un signe de la main, j’invite Margaux qui, ayant hésité sur la conduite à suivre, me rejoint rapidement et s’assied à côté, à la hauteur de Sophie. J’enserre la jeune fille d’un bras autour de sa taille délicate, la colle contre moi puis l’embrasse fougueusement. Nos lèvres se pressent, nos langues s’apprivoisent. Je lui baise les joues, le menton. Margaux laisse glisser ses doigts sur mon visage, prend la ligne de mes mâchoires dans ses mains tout en m’embrassant. Ma femme, vorace ce soir, n’est pas sur le même rythme que ce matin. Elle me prépare pour la suite par une inspection minutieuse de toutes les parties de mon phallus, me tète littéralement la queue. Elle n’oublie cependant pas Margaux et lui glisse une main sur les cuisses, peut-être plus bas, je ne vois pas bien, occupé à résister à la tornade qui s’abat ...
«1...345...8»