Le militaire de Lorient 2
Datte: 11/05/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Caramel35, Source: Hds
... ça.
Je ne sens plus mon cul…ou plutôt je le sens trop bien, tiraillé, dilaté à l'extrême…
" C'est rentré tout seul"… c'est lui qui le dit; Je n'ai pas la force de lui répondre, vaincu par son braquemart enfoncé jusqu'à la garde. C'est moi qui l'ai appelé pour me faire sauter alors je n'ai pas envie de faire le petit joueur. C'est extraordinaire pour moi d'avoir un gabarit pareil dans mon cul. Je suis défoncé, mes jambes flageolent, je me sens tout bizarre.
Il ressort presque, sans doute par provocation. Mes esprits reviennent un peu et il m'encule dans la foulée. Cette deuxième pénétration me donne un plaisir sensationnel. J'ai l'impression qu'il a ouvert un boulevard tant il a glissé facilement et m'a fourré son gourdin exceptionnel. L'effet est extraordinaire tant on sent la longueur en soi qui frotte, qui te pénètre.
Il ne s'inquiète pas de mon état. Il me saisit fortement les hanches et démarre une sodomie énergique. Peu lui importe que je gémis fortement comme un jeune puceau, que les voisins pourraient entendre… Ils entendent sûrement et ça doit l'exciter. Il me nique, me baise, me lime le cul avec une volonté, un acharnement de dominateur, de mâle expérimenté.
" Penches toi! Accroches toi à la table! …me dit il, autoritaire, directif.
Ce n'est pas le moment de se déboîter ni de flancher. Je ne dois pas être le premier à me faire baiser sur cette table. A bonne hauteur, lourde, solide et dotée de rebords, elle est parfaite pour ce genre d'exercice. ...
... L'endroit est peu confortable, j'aurais préféré aller dans son lit ou ailleurs. Je suis comme un pédé qui est venu se faire emmancher là, venu le soulager de ses pulsions, de ses couilles trop pleines.
C'est humiliant mais c'est trop bon!
Il ressort, m'encule sur toute la longueur, use et abuse de son manche. Chaque pénétration, chaque va-et-vient m'arrache des cris d'enculé possédé qui doivent le ravir. Ses couilles pendantes ballotent contre mon cul et me prouvent qu'il m'encule à fond. Ma bite crache je ne sais quoi à chaque coup de reins, je ne maîtrise plus rien.
Il me serre dans ses bras puissants et, enchâssé en moi, me harponne, me coulisse avec délice, varie la cadence, prend un plaisir certain à me niquer, à m'entendre couiner.
Pendant de longues minutes, je subis sa saillie. Nous ne faisons qu'un, unis dans cette copulation débridée qui me ravi tout autant que lui. Crier et couiner m'excite moi-même et cette liberté ajoutée à sa hargne, je bande d'être possédé ainsi, par ce mâle si puissant, si viril.
Dans le miroir, il constate mes expressions de pédé soumis et comblé, voit sa réussite. Il ne sort aucune parole; uniquement concentré à me baiser, à prendre son plaisir, à me dominer.
Je sais sa pine majestueuse qui me ravage le conduit, qui va gicler en moi dans la capote.
L'estocade se profile; il me déglingue plus vite, me pistonne comme un sauvage… ses jambes vibrent… des ondes me parcourent, je crie, je jouis, un immense soulagement part de mes ...