1. Le Marin en Perdition 03


    Datte: 10/05/2025, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byGKCD, Source: Literotica

    ... chatte, mon esprit chavire, je me vois de l'extérieur, je me vois entre ses deux hommes qui me possèdent si profondément, je regarde Denis et son regard amplifie mon plaisir, il ne me quitte pas des yeux, il se caresse doucement à travers son pantalon.
    
    Je n'y peux rien, cette double pénétration, ce premier sandwich me procure un orgasme démentiel, je crie, je gueule. Être encule et baisé en même temps, me procure des sensations inconnues, touche des zones inviolées, c'est incroyablement bon, mes orgasmes se succèdent. Le premier éjacule longuement, il se vide, il se déverse en moi en puissantes giclées, il se retire, ensuite un autre arrive immédiatement, il le remplace. Je suis prise à nouveau, ma chatte et mon cul sont tellement dilatés et graissés de foutre que ça devient facile à présent, il rentre tout seul, je souhaite que ça ne s'arrête jamais, je suis devenue une pute, j'aime ça, je jouis, ils vont finir par m'éventrer.
    
    J'en entends un qui gueule qu'il ne peut plus attendre, qu'il faut qu'il me fourre, sinon ça partira tout seul, il monte sur une chaise, il me tire les cheveux pour m'amener la tête près de lui, il me présente sa queue devant le visage et m'ordonne de le sucer. Alors, je le prend dans ma bouche, hors il s'enfonce brusquement dans ma gorge comme s'il s'agissait d'un vagin. Il décharge immédiatement une quantité énorme de foutre, j'en ai partout, il me dit d'avaler, j'avale, j'engloutis tout son sperme et je jouis encore et encore, je ne m'arrête ...
    ... pas.
    
    Celui qui m'encule explose à son tour il m'en met plein les intestins, puis il se retire, je sens son sperme coulé dans ma raie. Je suis bourrée de partout, une usine à foutre, il se retire tout de suite remplacé par un autre qui me sodomise à son tour, je n'ai pas de répit. Combien sont-ils? Je crois que je vais m'évanouir de plaisir. Ils me prennent, devant, derrière, dans la bouche, ils entrent, ils sortent, ils me baisent, ils me défoncent le cul, ils jouissent, éjaculent, déchargent, giclent, à trois, à deux, seuls, ils abusent de moi comme ils veulent.
    
    Je suis haletante, comblée, épanouie, rassasiée, épuisée. J'ai le cul en feu, le ventre douloureux, la bouche meurtrie, le corps poisseux parcouru d'incessantes ondes de plaisirs.
    
    Plus tard, beaucoup plus tard, quand ils sont enfin partis, qu'ils m'ont enfin laissée, le proprio me félicite d'avoir donné autant de plaisir à ses ouvriers, que cela a duré plus de deux heures et demie sans interruptions, qu'il y en avait toujours eu au moins un qui me baisait.
    
    Je suis maculés de sperme gluant, j'en ai partout, j'en suis pleine, il coule de mon sexe et de mon cul sur mes jambes, j'en ai dans la bouche, dans l'estomac, sur le visage, dans les cheveux, sur le corps. J'ai trop joui, j'ai trop honte cependant je ne regrette rien.
    
    Denis me regarde, se lève, ouvre sa braguette, saisit sa verge tendue depuis trop longtemps et s'approche de ma bouche qu'il investit, quelques va et viens lui suffise pour m'arroser ...
«12...4567»