« Josy » : Une histoire de petite culotte. Épisode 3
Datte: 10/05/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... jouir de nombreuses fois avec ses doigts et sa langue, il eut encore suffisamment de force pour prendre ma petite chatte avant de me retourner pour une sodomie infernale. Il allait et venait sans ménagement dans mon rectum en me disant : « Oh Oui Josiane, tu es ma petite salope, j’aime trop t’enculer. » Puis dans un énorme râle, il m’envoya la sauce qui dégoulinait dans mon conduit anal pendant que je jouissais une nouvelle fois.
Cette nuit-là épuisée, j’avais très bien dormi, cependant au réveil je m’inquiétais encore. Je devais récupérer ma petite culotte et pour ça, je devais aller chez le garde-champêtre. Je ne voyais pas d’autre solution, d’autant plus que lorsque nous étions sortis de l’église avec André et maman, Gaston sortit du bistrot et vint saluer le docteur. J’avais une trouille bleue qu’il dise quelque chose, mais ce ne fut pas le cas. Je compris dans son regard qu’il voulait tout simplement me faire comprendre qu’il ne fallait pas que j’oublie notre rendez-vous.
Heureusement, le garde champêtre résidait une petite maison à la sortie du village, juste derrière le parc. Je m’y étais rendu discrètement en passant par le jardin d’enfants. À quinze heures tapantes, je me présentai à sa porte, Gaston devait probablement m’attendre car il m’ouvrit avant que je sonne. Il était tout propre et bien habillé, cela lui changeait de son uniforme qu’il semblait ne jamais quitter de la semaine. Pour ma part, j’étais venue sans sous-vêtement sous ma petite robe afin ...
... qu’il ne me les confisque pas.
Cet homme était complètement différent sans son képi, ses cheveux poivre-et-sel étaient propres, bien coiffés et sa grosse moustache comme Georges Brassens, lui allait très bien. Il m’invita à la cuisine et m’offrit un soda pendant qu’il se servait une goutte qu’il faisait lui-même. Je savais ce que j’étais venue faire chez lui, je devais absolument récupérer mon bien, tout en sachant que je devais certainement, en contrepartie lui faire une nouvelle pipe. Après avoir bu une lampée, je m’étais lancée :
— Monsieur Gaston, vous devez me rendre ma petite culotte.
— Si tu es une gentille fille, je te la donne. Répondit-il en la sortant de sa poche pour la poser sur la table.
— Je suppose que vous désirez que je vous suce, c’est ça ?
— Oui bien sûr, c’est un minimum mais pourquoi pas un peu plus.
Il se leva et vint dans mon dos. Il passa ses bras au-dessus de mes épaules et ses mains posèrent sur mes deux seins qu’il malaxa doucement. Il baissa sa tête et m’embrassa dans le cou en me disant : « T’as vraiment de beaux nibards ma jolie. » Son bisou et ses caresses me firent frissonner, mes tétons pointaient, ma chatte commençait à mouiller, je me moquais de qui me pelotais, je fermais les yeux en soupirant :— Allez, n’attendons pas, suce-moi.
Ces propos me sortirent un peu de ma léthargie, il défit son pantalon et baissa son slip, Gaston bandait fortement déjà lorsqu’il me présenta son pénis devant mon visage. Bien décidée à récupérer ...