« Josy » : Une histoire de petite culotte. Épisode 3
Datte: 10/05/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... quand Patrice me souffla à l’oreille : « Je ne suis pas pressé Josiane, tu peux rester avec moi. » Toujours assis, tenant son sexe dans la main, de l’autre il m’attrapa le bras et me demanda de rester. Il n’avait pas eu besoin d’insister beaucoup, très vite je m’étais retrouvée allongée à côté de lui, la poitrine nue sortant de mon corsage et ma culotte sur le sol.
Patrice avait la tête entre mes cuisses me léchant le minou, lorsque nous avions entendu du bruit. Pensant que Simon revenait, je ne m’étais pas inquiétée, j’étais au bord de l’explosion. Soudain Patrice stoppa net son cunnilingus, il se releva en hâte en remontant son pantalon et me criant : « C’est le garde champêtre, sauve-toi Josiane. Retrouve-moi au cabanon » En effet, en me tournant, je vis la tête de Gaston à travers le buisson, cela devait faire un bon moment qu’il nous observait.
Patrice le salaud, était déjà devant, je n’eus que le temps de remettre de l’ordre dans mon corsage, de prendre la couverture et de courir. Je fis quelques mètres lorsque je m’aperçus que je n’avais pas ma petite culotte. Je me retournai pour aller la rechercher mais Gaston l’avait déjà dans ses mains et la portait à son visage en la sentant. Trop tard, il fallait que je me sauve. Toutefois, je ne pouvais pas rentrer sans mon sous-vêtement, André qui avait désormais l’habitude de passer sa main sous ma jupe lorsque je rentrais s’en apercevrait immédiatement.
Non, je ne pouvais pas rentrer sans ma petite culotte. Après ...
... mûres réflexions, je me décidai de faire demi-tour pour la demander au garde-champêtre. Gaston était un vieux garçon, toujours célibataire à 48 ans, laid comme un pou, on ne lui connaissait pas de petite amie. Comme sorties et distraction, il se disait dans le village qu’il allait en ville, voir les putes le samedi soir. Essoufflée, j’arrivai devant lui et tendant la main, je lui demandai mon sous-vêtement intime :— Tu ne serais pas la fille de la boniche du doc ? me lança-t-il ?
— Si Monsieur mais s’il vous plait donnez-moi ma culotte.
— Je t’ai vu tout à l’heure, aussi salope que la Colette à ce que je vois. Tu la veux vraiment ? Me demanda-t-il en la tenant du bout du bras avec un grand sourire.
Je n’osais pas y penser, mais je pensais bien qu’il allait me demander quelque chose et je ne savais vraiment pas si j’allais accepter. En effet, ce fut le cas, ne répondant pas, il continua : « Et moi, ça te dirait de me faire une petite gâterie ? » Je ne le connaissais pas suffisamment cet homme, je ne savais pas comment allait-il réagir à ma requête. Néanmoins j’essayai de bluffer : « Vous n’avez pas le droit de me demander ça, je vais le dire au docteur. » À mes mots, Gaston éclata de rire puis me dit fermement en débouclant sa ceinture :
— D’accord dis-lui au doc. Maintenant tu me suces si tu veux ta culotte toute puante.
— S’il vous plait Monsieur Gaston, donnez-la-moi, je vais vraiment me faire gronder.
— Que dirais le docteur si je lui disais ce que tu étais ...