Grosse cylindrée
Datte: 09/05/2025,
Catégories:
fh,
grp,
extraoffre,
inconnu,
caférestau,
toilettes,
Oral
Partouze / Groupe
Auteur: Olaf, Source: Revebebe
... garder comme reproducteur. Elles veulent toutefois encore vérifier par elles-mêmes mes capacités d’étalon, sans que je sache qui va me faire jouir.
Une fois la porte fermée, il fait nuit dans la cabine, à l’exception d’un peu de lumière passant par un orifice rond sur ma gauche à hauteur de mon bas-ventre. Sur ma droite, je distingue deux renfoncements dans l’autre paroi, à hauteur de poitrine. Ils sont fermés pour l’instant.
Pour réussir, je dois résister plus de quinze minutes avant d’éjaculer. Je ne dois toutefois pas tenir au-delà de la vingtième minute. Elles n’ont apparemment pas que ça à faire, et quelques autres mecs attendent un traitement similaire du côté du bar.
— Maintenant, fous-toi à poil et montre-nous de quoi tu es capable.
L’ambiance n’est pas vraiment propice à des prouesses sexuelles. Surtout pas minutées. Je dois toutefois reconnaître que leur manière de me (mal)traiter et l’ascendant naturel de Catherine ont quelque chose d’assez excitant.
Le côté animal du défi, ce rôle d’étalon auquel elles me cantonnent, me met dans une ambiance plus lubrique. Et c’est une verge bien raide que je finis par glisser dans leglory hole après m’être déshabillé comme j’ai pu malgré l’étroitesse du lieu.
Sans entrer dans les détails de ce qu’elles me font subir, j’avoue que leurs fellations à deux bouches et quatre mains sont particulièrement jouissives.
Tout y passe, du mordillement du frein à la gorge profonde, en alternant frottements du gland ...
... contre l’intérieur des joues et pénétrations du méat d’un doigt lubrifié par mes sécrétions intimes. Sans se priver des voluptueuses caresses sur mes couilles qui me font dangereusement approcher du point de non-retour.
Coincé dans le cagibi, je suis incapable de me soustraire à leurs attouchements ciblés et terriblement efficaces. Elles veulent visiblement me faire lâcher prise le plus vite possible. J’essaie de compter les secondes pour détourner mon attention de ce qui se trame dans mon bas-ventre.
Le plaisir que je ressens n’en diminue pas pour autant. Et nous ne sommes probablement qu’à la huitième minute.
Heureusement, mon attention est brièvement détournée par l’ouverture des deux orifices dans mon dos. Déjà, deux mains glissent sur ma peau, passent sous mes aisselles et viennent caresser mon torse. Mes tétons, plus exactement.
Une intense secousse de plaisir traverse mon bas-ventre au moment où les mains pincent mes pointes sensibles. Un plaisir troublant qui décuple l’envie de jouir dans la bouche qui est en train d’aspirer vigoureusement mon gland, particulièrement réactif depuis quelques secondes.
Essayant de me détacher de la montée inéluctable de l’orgasme, je me force à analyser ce qui m’arrive. Je réalise alors que si Catherine et Nicola sont bien de l’autre côté duglory hole, une troisième personne doit être en train de manipuler mes tétons. Une femme ? Un des motards ?
Peu importe en vérité, tant le traitement est jouissif. Et l’alternance des ...