1. Semaine vénitienne suite1


    Datte: 09/05/2025, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: LING17, Source: Hds

    ... peux comprendre, mais qui traduisent très certainement, son plaisir. Ainsi embrochée, je peux envahir sa caverne percutant parfois le fond de sa matrice , ce qui à chaque fois provoque des jurons de sa part.
    
    Me retirant, je l’ai fait mettre à genoux, m’offrant pleine vue sur son sillon que je me suis empressé de visiter, glissant ma tige sur toute sa longueur, avant d’une poussée lui envahir de nouveau son abricot béant. En raison de la violence de cette pénétration cela me vaux une borée de jurons que l’on peut sans doute traduire par - Salop, tu viens de me défoncerMais en étant certain qu’elle y prend plaisir, car sous les coups de butoirs qui font tressauter ses nénés, sa jouissance n’a pas tardé jaillir, m’inondant la queue de cyprine, s’écoulant ensuite sur nos cuisses tant elle est prolifique. Me retirant de sa vulve, je glisse mon gland plein de mouille sur son sillon, le pressant sur son anneau ; reculant son bassin , elle s’empale littéralement sans un cri lorsque l’anneau a cédé, permettant ainsi une sodomie que j’espérais et elle aussi car elle n’arrête pas de m’encourager et là à la française- Oh oui, encore, défonces moiInutile de me le dire deux fois et puissamment je l’ encule profondément, la faisant jouir une nouvelle fois, femme fontaine libérant toute sa semence. Pour moi le moment de juter est imminent et l’emprisonnant , lui enserrant le bassin, profondément enfoncé en elle, je lui ai graissé les entrailles, à chaque jet lui frappant ses parois ...
    ... déclenchant un bruyant feulement. Autour de nous une odeur de sexe, de sperme flotte, sans qu’elle s’en préoccupe. Se redressant, m’embrassant à pleine bouche, remettant sa tunique sans la fermer, elle m’ entraine . Sur le chemin nous avons rencontré sa fille, nous dévisageant, avant de me dire, en bon français cette fois- Tu viens de niquer ma mère, mais avant que tu m’en fasses autant, viens voir ta femme, elle ne s’ennuie pas non plus.
    
    M’entrainant à l’étage, nous nous sommes dirigés vers une chambre d’où vient, facile à reconnaitre pour moi, les cris de jouissance d’une femme, ; autour du lit, deux hommes nus, se branlent matant ma douce femme en train de se faire prendre en double, l’un estla marquis, l’autre un des invités, un métisse et les deux savent l’emmener dans les tours de la jouissance tant ses cris sont perceptibles, même du couloir.
    
    Discrètement nous nous sommes rapprochés, sans nous faire remarquer de Nicole, trop occupée par les deux chibres enfoncés dans sa matrice ; elle se fait prendre en double vaginale , ce qu’elle aime particulièrement. Par contre, l’un des hommes se branlant sans me reconnaitre s’est penché vers moi :- C’est une sacrée baiseuse, c’est la deuxième fois qu’elle se fait prendre en double et elle en réclame encore. Elle doit être pleine de sperme , car nous l’avons tous ensemencéeEn effet Nicole réclame bruyamment que ses deux pourfendeurs la baisent encore plus profondément, avec satisfaction si l’on en croit ses beuglements de plaisir. ...