1. L'expérience Interdite


    Datte: 06/05/2025, Catégories: f, h, fh, couple, copains, douche, miroir, BDSM / Fétichisme hféminisé, Transexuels Oral pénétratio, init, sf, Humour fantastiq, Auteur: Antilope, Source: Revebebe

    ... idéales.
    
    Le jour J est enfin arrivé.
    
    Nous nous sommes rejoints à mon labo le matin. J’y avais construit deux cabines indépendantes côte à côte complètement fermées.
    
    La tension était palpable et même si quelques petites plaisanteries fusaient, l’ambiance était plutôt silencieuse.
    
    Nous nous sommes installés chacun dans notre cabine, puis nous nous sommes déshabillés et allongés nus sur la table. Il ne restait qu’à se brancher à l’appareil à l’aide du casque.
    
    J’ai lancé le protocole et nous avons plongé vers l’inconnu.
    
    Au bout d’un temps indéterminé, j’ai perdu connaissance.
    
    Lorsque je me suis réveillé et que j’ai ouvert les yeux, j’ai d’abord cru que l’expérience avait échoué. Rien ne semblait avoir changé. Normal, les deux cabines étaient identiques. J’ai regardé autour de moi et j’ai observé que je voyais mieux, même sans lunettes.
    
    J’ai tenté de me redresser sur la table, et c’est là que je les ai sentis.
    
    Ils étaient gros, ils étaient lourds, ils tiraient sur la peau de mon cou, ils étaient étalés sur mes bras, puis ils ont roulé sur moi. Ils se balançaient doucement, se cognaient mollement l’un dans l’autre.
    
    Ça y est ! je les avais, ces seins magnifiques, si inaccessibles, ils étaient sur moi ! je pouvais les toucher, les tenir… les peloter !
    
    Je me suis levé de la table, un peu étourdi, et j’ai failli tomber par terre, car je n’étais pas habitué à ce nouveau corps.
    
    Une fois debout, j’avais l’impression de ressentir la gravité sur toute la ...
    ... surface de ma peau. Cela faisait comme si j’étais entouré d’un matelas d’eau qui ballottait dès que je me mettais à bouger.
    
    La vue obstruée par cette énorme poitrine, je ne voyais rien de ce qui se passait en dessous, même pas mes pieds.
    
    C’est donc à tâtons que j’ai exploré ma nouvelle anatomie, et je dois dire que j’ai été particulièrement paniqué lorsque j’ai constaté l’absence entre mes cuisses.
    
    C’est pile à ce moment-là que j’ai entendu un cri de joie dans la cabine d’à côté :
    
    — Whouaaaaaaouuuuuu ! Arthur ! C’est super ! j’ai une bite ! … j’ai une bite, putain ! t’es un génie !
    — OK… donc tu vas bien, apparemment ?
    
    J’ai été terrorisé par le son de ma propre voix. Comme si un monstre avait parlé dans ma tête.
    
    Rien d’étonnant, je n’avais pas que ses seins, j’avais aussi sa voix, sa chatte, ses fesses, son ventre, ses cheveux, ses cuisses, ses pieds, ses mains…
    
    Chacun avait laissé un sac de vêtements de sa propre garde-robe pour que « l’autre » ait de quoi vivre pendant la durée de l’expérience.
    
    Nous avions convenu que chacun pourrait découvrir son nouveau corps, mais ne pourrait pas faire l’amour avec une autre personne.
    
    Isabelle avait suggéré que nous fassions l’Amour entre nous.
    
    En tant que lesbienne, elle était enthousiaste à l’idée de pénétrer un corps de femme, mais moi, je n’étais pas prêt du tout à me faire prendre par un mec, même si c’était un mec particulièrement familier…
    
    Alors que je prenais mes marques, avec difficulté, je l’ai ...
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