Notre couple en club en Espagne, une chaude expérience.
Datte: 06/05/2025,
Catégories:
fhhh,
candaul,
vacances,
boitenuit,
anniversai,
strip,
Masturbation
entreseins,
Oral
Partouze / Groupe
fsodo,
Auteur: andrebernard93, Source: Revebebe
... Diego libérait également son petit cul.
Juan se jetait alors sur le dos, au milieu de l’immense lit.
— Viens sur moi, Émilie !
Ma petite femme se mettait à califourchon, les genoux de chaque côté des hanches du blondinet qui en profitait pour s’enfoncer lentement et profondément dans son vagin.
— Ouah, c’est top, Émilie : ton puits d’amour est brûlant. Miguel, ne nous abandonne pas !
— J’arrive, Juan, la bouche d’Émilie me manque terriblement.
Miguel se mettait alors debout sur le lit, dominant le couple. Émilie chevauchait avec ardeur le sexe de Juan qui, par de larges coups de reins, se projetait plus profondément dans la chatte de la belle.
— Ma jolie, tu m’as abandonné… Regarde comme mon sexe pleure.
Miguel posait ses deux mains sur la nuque de ma femme, l’invitant tendrement à reprendre son sexe entre ses lèvres humides.
Juan tenait fermement les deux fesses de ma douce, ses gros testicules claquaient son périnée à chaque aller-retour.
L’effet pour Miguel était immédiat, à chaque coup de boutoir de son copain, la bouche et la gorge d’Émilie s’ouvraient un peu plus aux assauts de son sexe. Il sentait à présent son gland atteindre régulièrement l’arrière-gorge de ma chérie.
Diego venait de monter sur le lit. Il progressait à genoux lentement vers les reins d’Émilie.
Juan le voyait faire et s’adressait à ma petite reine.
— Ma petite Émilie, nous allons faire une petite place à mon pote Diego.
Juan avait cessé tout mouvement et ...
... Miguel avait libéré la bouche d’Émilie qui gémissait le souffle court.
Diego lui écartait alors largement les fesses, dégageant son magnifique œillet brun humide et frémissant. Son sexe épais était en position, les anneaux s’ouvraient doucement à l’intégralité du gland.
— Ouah, Dan, ils me font jouir, ils sont diaboliques, mon chéri.
Diego, d’une poussée rectiligne, s’enfonçait totalement dans cet anus frémissant. Ces deux camarades reprenaient leurs mouvements.
J’étais ému, par la vision de ces trois mâles, qui croyaient posséder ma femme, alors qu’il n’était pour elle et moi que de simples objets de plaisirs.
J’avais sorti mon sexe, que je masturbais au rythme des gémissements et des regards de ma femme.
La chambre était envahie par des bruissements et des odeurs des sexes. Ils provoquaient une vague de gémissements de jouissance.
Dans des cris gutturaux, les trois Espagnols se libéraient de leurs spermes, inondant les puits d’amour de ma belle.
Émilie me regardait et, m’offrant un regard attendrissant, me dit :
— Viens, mon chéri, viens ! Allez, les gars, dégagez !
Allongée maintenant sur le dos, je contemplai ma jolie femme qui me tendait ses bras. Je m’allongeai sur elle qui, doucement et amoureusement, me dit :
— Entre mes seins, mon amour, je te veux entre mes seins.
Mes genoux de part et d’autre de sa poitrine, elle enserrait mon sexe bandé entre ses deux seins. Elle me masturbait de ses magnifiques globes, titillait mon gland avec ses ...