Périple en camping-car 14 : Mariage à Lille
Datte: 04/05/2025,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Yan Loutort, Source: Hds
Après déjeuner, j’ai quitté Mons en Baroeul pour me rendre sur le parking du club. Corinne a envie de conduire. Je lui montre un peu les commandes. Elle est surprise par les dimensions et la boîte automatique. Prudemment, elle prend la route. Il est dix-sept heures trente quand nous y arrivons. Il n’y a encore personne. La soirée débute à vingt et une heures. Nous nous garons au fond du parking, derrière les arbres.
Je laisse gambader Rocky, qui se perd dans le bosquet pour faire ses besoins. Nous avons largement le temps de nous préparer. J’en profite pour alimenter mon blog, en « oubliant » l’épisode de la veille au soir. Les femmes passent un moment dans la chambre d’où des gémissements me parviennent. Je prends mon appareil photo et je « shoote » leurs ébats. Je décharge vidéo et photos et quand elles me rejoignent, je leur fais défiler le diaporama. Cela ne fait rien pour les calmer et elles veulent me sucer à deux. Je les laisse faire, sans pour autant aller au bout, car la soirée s’annonce chaude.
Pour finir de les mettre en condition, je leur montre le site du club. Elles étaient chaudes et deviennent bouillantes. Un peu d’appréhension malgré tout de leur part. Seront-elle à la hauteur ? Je les rassure. Je propose de manger un peu. Même si un apéro dînatoire est prévu le samedi soir, il faut malgré tout, se sustenter.
Vers vingt heures, nous nous préparons. Douche individuelle pour chacun, afin d’éviter les tentations. Toilette intime et épilation soignée, ...
... maquillage pour ses dames et enfin habillage. Je choisi un pantalon et une chemise blancs, Corinne sa petite robe noire, dont le décolleté dans le dos montre l’absence de soutien gorge et Morgane, chemisier blanc soutien gorge et minijupe noire.
Bien sûr, les femmes mettent les bas autofixants achetés le matin. Ceux de Morgane arrivent à peine au niveau du bas de la jupe. Les femmes décident de mettre tout de même un string, malgré le fait qu’elles risquent de les perdre dans la soirée. Il faut dire que leurs chattes mouillent déjà pas mal.
Sur le parking, des voitures arrivent petit à petit. Nous n’avons pas vu arriver les premières qui doivent être celles des employés, mais il y en a presque une vingtaine, ce qui laisse présager une soirée animée.
A vingt et une heures, les filles voudraient y aller, mais je leur propose d’attendre un peu en buvant un apéritif. Il n’est jamais bon d’arriver les premiers. Exceptionnellement, je ferme Rocky dans la soute avec de quoi boire. Il n’est pas très heureux, mais je n’ai pas envie qu’il fasse peur à quelqu’un qui pourrait s’aventurer dans le coin, même si en principe il reste couché sous le camion, mais on ne sait jamais.
Vingt et une heure trente, nous enfilons un manteau par-dessus nos tenues légères, les femmes refont leur maquillage et nous partons pour la boite. Le parking est à moitié plein ce qui est de bon augure.
A l’entrée, je paye les soixante euros pour le couple - en fait, surtout pour l’homme -, c’est ...