René et ses Proies 07
Datte: 04/05/2025,
Catégories:
Contrôle Mental,
Auteur: byMulierscriptor, Source: Literotica
... contrôleuse de la SNCF et son gros cul qui venait d'attirer son attention. Oui, c'était ça! Un bon gros cul bien rond dont il aurait aimé s'occuper avant la fin de son trajet.
Se désintéressant lui aussi de sa voisine, il offrit son plus beau sourire à la préposée aux kilos en trop. Elle s'approcha de lui en ondulant presque gracieusement. Espèce de grosse vicieuse pensa-t-il aussitôt. Il laissa sa main pendre dans le couloir de circulation presque innocemment.
Lorsqu'elle eut fini de contrôler son billet et qu'elle se retourna vers ses voisins, l'employée s'assit presque sur son avant-bras, emprisonnant sa main entre ses grosses fesses!
Les femmes sont vraiment imprévisibles! Une de perdue, une de trouvée. Life goes on! L'homme se concentra sur Miss Gros Cul! En deux heures de trajet, il devrait bien arriver à un résultat intéressant avec elle!
Pippa se demandait qui était le fameux Robert qu'elle allait rencontrer dans ce Palace et dont elle devrait accepter toutes les demandes! Monsieur René lui garantissait qu'elle ne le regretterait pas.
Pippa commença à rêver à Robert, l'imaginant sous plusieurs formes : jeune ou vieux, poilu ou pas, grand ou petit, etc. Elle trouvait dans toutes les combinaisons qui lui venaient à l'esprit motifs à fantasmer. Pippa était maintenant prête à franchir une étape cruciale de son évolution, elle le savait. Kevin s'évanouissait définitivement en elle. La petite chenille allait enfin laisser s'envoler et donner vie à un beau ...
... papillon qui déploierait ses ailes...
Mais en fait d'ouvrir ses ailes, c'était son cul qui allait être ouvert! Pippa s'en doutait bien et rêvait en silence à ce qu'elle ressentirait vraiment quand elle serait pénétrée. Imaginant mille douleurs et mille plaisirs enchanteurs, un sourire éclaira ses lèvres et sa langue les humecta doucement. Plus qu'une heure trente de trajet se dit-elle.
Son voisin se leva, elle ne le revit pas avant l'arrivée en gare du TGV. La nuit était tombée dehors, Pippa ferma les yeux et somnola.
Depuis presque deux jours maintenant, Leila avait été mise en cellule. Elle avait beau avoir crié, hurlé sa rage et son incompréhension, il ne s'était rien passé. Personne ne lui avait adressé la parole. Des plateaux avaient été apportés pour qu'elle puisse manger. La bouffe était dégueulasse, mais elle avait fini par avoir faim. Les bouteilles d'eau minérale qu'on lui avait donné étaient déjà ouvertes et le liquide pas très clair.
Elle avait d'abord vidé les premières bouteilles dans le trou qui lui servait de toilettes, résolue à ne jamais tremper ses lèvres dans ce liquide suspect. Puis au bout de quelques heures après son premier repas, assoiffée comme jamais par une nourriture volontairement trop salée, elle avait fini par craquer et boire d'une seule traite la dernière bouteille mise à sa disposition.
Le Commissaire prit son pied en voyant Leila étancher sa soif à son mélange d'eau et d'urine. Il avait pissé dans cette bouteille avec joie. Elle ...