1. Cinéma, le spectacle est dans la salle


    Datte: 04/05/2025, Catégories: fh, fhhh, hplusag, cinéma, Voyeur / Exhib / Nudisme caresses, facial, Oral nopéné, nostalgie, candaul, videox, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... !
    
    Elle s’essuie du mieux qu’elle peut avec les divers mouchoirs en papier, puis elle se rhabille prestement. Sans attendre la fin du film, nous quittons la salle puis le cinéma. Son bonnet de laine à nouveau enfoncé jusqu’à ses yeux, elle est visiblement honteuse, se sentant souillée des jouissances qu’elle avait suscitées.
    
    — Mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu, qu’est-ce que j’ai fait, là ?
    — Rien de plus que l’assouvissement qu’un désir refoulé.
    — Depuis quand t’es psy, toi ? Et pourquoi t’as laissé faire ?
    — Parce que j’en avais envie et parce que tu en avais envie.
    
    Elle ne répond pas. Je capture sa main entre la mienne, elle veut se dégager, mais je ne lâche pas prise. Je prends la parole de façon péremptoire :
    
    — Arrête tes bêtises, ma chérie.
    — Je… je me sens… je me sens sale…
    — En quel honneur ? Tu as joui, mis à part que je n’étais pas le seul à t’y aider…
    
    Sa main rivée dans la mienne, elle s’agite :
    
    — T’es bien cool ! Je viens de me faire baiser par plusieurs hommes et ça ne te fait rien !
    — Tu n’as pas été vraiment baisée par plusieurs hommes, comme tu dis. Si tu veux mon avis, je suis très heureux de t’avoir vue prendre ton pied de la sorte.
    — Tu… tu ne me le reproches pas ?
    — Pourquoi veux-tu que je te le reproche ? C’était un de mes fantasmes, et tu l’as assouvi de bien belle façon.
    — Et tu en as beaucoup d’autres en réserve, des fantasmes du même cru ?
    
    Je lui souris :
    
    — L’avenir te le dira !
    
    Puis je l’embrasse. Rassurée, elle ...
    ... répond à mon baiser.
    
    Voilà, c’est fini, vous savez tout. Nous venons de quitter les débuts de Valéry Giscard d’Estaing pour ceux de Nicolas Sarkozy. Un assez grand bond dans le temps.
    
    C’était juste une petite anecdote du temps jadis, située à une époque plus insouciante, durant laquelle le sida n’existait pas encore, sans parler du politiquement correct et de sa dernière mouture, le wokisme. Pas de caméra de surveillance à chaque coin de rue et pas de smartphone qui vous flique à l’insu de votre plein gré. Et je crains que ce ne soit que le commencement du début…
    
    « Il est interdit d’interdire » était l’un des slogans les plus usuels issus de mai 68.
    
    Même si Angie a eu du mal à l’admettre au début, ce genre de séance lui plaisait beaucoup. J’ai vite compris qu’elle ne prendrait jamais d’elle-même l’initiative, et que ça devait venir de moi, comme si je le lui imposais ce genre de turpitude. Et comme je suis un gars pratique, je ne me suis pas fait prier.
    
    Cette anecdote est restée chère à mon cœur, car elle a marqué le début d’un autre type d’aventure que je ne pensais pas possible.
    
    De ce fait, nous sommes retournés plusieurs fois dans ce cinéma, une à deux fois par mois. J’ai appris par la suite que notre venue était guettée, la rumeur d’une fille fort complaisante ayant vite fait le tour des habitués. Au bout d’un certain temps, nous avons préféré changer de crémerie, pour éviter certains soucis, certains crétins ayant dans l’idée que ça devait être une ...
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