1. Un Fritz dans la combine.


    Datte: 02/05/2025, Catégories: fh, couleurs, extracon, cocus, candaul, strip, 69, fantastiqu, Auteur: Vopicek, Source: Revebebe

    ... avec, tu pourras le garder, enfin selon ses indications de votre collaboration.
    — Ce serait super, surtout pour me déplacer sur des petites distances, c’est un moyen que je n’aurai jamais osé rêver.
    — Autre chose, sur Terre, as-tu été soldat ?
    — Tout allemand nait d’abord soldat et a ensuite une autre occupation, c’est une chose propre à notre culture, l’obéissance. Il y a peu d’exceptions, mais elles existent.
    — Donc pour continuer la confrontation avec ce monde, que dirais-tu d’un combat avec une femme ? Ou si chez-vous cela n’existe pas ?
    — Dans les textes très anciens, il semble que les femmes participaient aussi aux batailles, mais elles ont un rôle particulier, mettre à mort ceux qui reculent, mais autrement pas vraiment des guerrières, c’est et c’est encore réservé aux hommes, mais pourquoi pas, j’espère que je ne lui ferai pas mal et qu’on restera en bons termes.
    — Je vais surtout lui recommander de ne pas te faire trop mal à toi. Les combats se font nus sans arme, la défaite se concrétise par taper plusieurs fois de la main ou par l’arbitre si la connaissance n’est plus.
    — Serait-ce possible d’avoir un minimum de décence et cacher les parties sexuelles ?
    — Sans problème, je pense qu’elle acceptera cette règle.
    
    Il faut dire que depuis notre confrontation à notre rencontre, nous nous sommes entraînés mutuellement, elle, me donnant les bases de leur art martial, qui est souvent d’utiliser la force de l’autre plutôt que la sienne, un peu comme le judo, mais ...
    ... si l’autre ne la donne pas, on ne peut l’utiliser et moi je lui ai enseigné la boxe à la savate.
    
    Fritz est très surpris de se trouver face à une femme pratiquement sans sein, presque avec moins que lui, comme j’ai appris plus tard, il faisait beaucoup d’exercices pour ciseler son corps.
    
    Très confiant, il commence à vouloir faire de la lutte, mais il n’y a rien à saisir à part les mains et dans les jeux de mains, Sokol n’est pas vilaine, ni mauvaise, elle excelle et rapidement avec trois doigts retournés, il s’est retrouvé face contre terre, implorant le pardon.
    
    Se relevant, il me dit qu’il pensait se battre comme chez lui, de la lutte virile, sans se faire pincer les doigts. Je lui demande s’il veut continuer en considérant ceci comme le premier round.
    
    Il a sa fierté le Fritz, bien sûr qu’il compte balayer l’affront, la première leçon ne l’ayant pas encore éclairci l’esprit.
    
    À la deuxième reprise, on suit avec de la boxe à la savate, chose inconnue chez les Allemands de l’époque ou très peu connue. S’il couvre bien son visage et son ventre, il ne lui est pas venu à l’esprit qu’avec une culotte sans coquille, ce qu’il y a dedans, c’est fragile et il part bravement au combat, mais à nouveau, il se retrouve par terre en se tenant les bijoux de famille, un peu écrasé par un talon féminin, sans attendre, elle s’est jetée sur lui et lui a baissé son slip pour mettre à jour ce qui souffrait, gentiment elle a soufflé sur les parties lésées, se permettant même de lui ...
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