1. Trahisons, ou le Retour de la Grande (3)


    Datte: 27/07/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: simson3, Source: Xstory

    ... l’insulta Tyranny. Tu avais la chance d’accéder aux côtés de notre maîtresse et de dominer sur nous toutes avec elle ! Personne d’entre nous ne s’était jamais fait offrir ce privilège jusqu’à présent!
    
    À tour de rôle, toutes les filles présentes se déculottèrent ensuite et vinrent enjamber la rouquine qui s’était remise à sangloter, étendue sur le sol. S’accroupissant tour à tour, chacune vida sa vessie sur le dos de la fille qui sentit alors les tièdes liquides corporels couler sur son dos et ses fesses. L’une d’entre elles s’attarda après sa miction et, en s’accroupissant davantage au-dessus du corps de Sophie, commença à exprimer des gaz intestinaux en laissant voir à toutes un sphincter anal en début de dilatation.
    
    - Non !! l’arrêta la Grande Maîtresse. Pas de scato ! Il n’en est plus question, maintenant. Rappelez-vous que j’ai fait une promesse à ma sœur Olga et que nous avons toutes renoncé à cette pratique.
    
    - Désolée, Maîtresse, répondit la fille que se ressaisit aussitôt et se redressa avant de céder sa place. C’était l’habitude…
    
    - Je sais, je sais, soupira tristement l’autre en se mordant la lèvre. Mais rappelez-vous seulement ce que cette fille a souffert pour moi. Elle m’a fait promettre. On ne reviendra pas là-dessus. Pauvre petite sœur…
    
    La séance d’humiliation terminée, Sophie se remit lentement debout, aidée par la co-dominatrice.
    
    - Maintenant mets-lui sa laisse et conduis-la à sa cage ! ordonna Evnika. Elle va apprendre qu’il faut savoir ...
    ... obéir ici !
    
    - Mais, Maîtresse, intercéda Tyranny, c’est notre monnaie d’échange pour votre prochaine prise.
    
    - Pour un jour seulement alors. Que ça lui serve de leçon ! Et sortez-la seulement pour faire ses besoins.
    
    La pauvre rouquine fut conduite au niveau inférieur dans une sombre cave où l’attendait une cage exigüe d’un mètre et demi de haut. Un collier fut fixé au cou de la fille et à une chaîne de deux mètres. Se penchant sous la porte qui ne faisait pas un mètre de haut, elle fut poussée à l’intérieur du petit habitacle de fer par sa jeune tortionnaire.
    
    - C’est ici que tu passeras la nuit, idiote de chienne !
    
    - Je suis couverte de pisse, se plaignit la jeune prisonnière. Pitié ! implora-t-elle.
    
    La geôlière revint avec un seau d’eau froide qu’elle versa au-dessus de la tête de Sophie, à travers les barreaux métalliques.
    
    - Voilà pour toi ! Ça devrait te suffire. Et je t’apporte tes bols d’eau et de pâtée.
    
    La fille s’éloigna, laissant l’autre presque nue et grelottant de froid. Sur les genoux, complètement abattue, Sophie agrippa les barreaux de sa petite prison et se laissa glisser jusqu’au sol, le front appuyé sur les tiges de métal, son unique petit vêtement souillé d’urine, ses cheveux dégoulinants collés sur les joues. C’était pour elle le désespoir le plus total. D’une voix brisée et à peine audible, elle lança un ultime cri du cœur :
    
    - Ali…, Ali…, viens me chercher !
    
    … puis se remit à gémir dans de faibles sanglots plaintifs.
    
    Pauvre ...
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