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Les aventures de Seb (7)
Datte: 02/05/2025, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Poiluhds, Source: Hds
... queue puissante parcourue d’une grosse veine proéminente, et son visage d’ange. Ses yeux pétillent d’intelligence et de désir charnel, et je fixe ses lèvres, pareilles à celles des statues romaines, sensuelles et viriles. - Tu es bien ? - Oui…- Sébastien…. - Oui ? Je l’encourage à me parler, trop bouleversé par les circonstances pour oser prendre la moindre initiative… Mais lui aussi est ému et je vois que ses yeux s’embrument… - Non…rien…. Il pose à nouveau sa main sur ma nuque et m’embrasse profondément. Je suis au bord de l’évanouissement. Il me murmure à l’oreille - J’ai envie de toi….mais tu ne l’as jamais fait hein ? - Non- OK… on va le faire avec des caresses alors… Je ne sais pas vraiment ce qu’il veut dire mais j’ai confiance en lui. Il me murmure à nouveau à l’oreille. - Mets toi à quatre pattesCe n’est pas un ordre, ni une supplique. Juste une demande que je reçois avec excitation parce qu’elle est douce. J’ai aussi furieusement envie qu’il s’occupe à nouveau de mon cul. Je me mets dans la position que j’ai vue dans les films, bien penché en avant sur mes avant-bras repliés pour lui offrir le meilleur accès à mon anus. Je me dis que je suis une offrande, que mon trou ainsi tourné vers le ciel est le dernier degré de la fusion de l’homme avec la nature. J’entends qu’il cherche quelque chose dans son sac à dos. Puis Nathan vient derrière moi et me lèche le cul avec la même agilité et encore plus de gourmandise que tout à l’heure. ...
... Entretemps j’ai apprivoisé cette forme de plaisir et il a compris que je m’y abandonnais totalement. Puis il pose sa queue entre mes fesses, les écartent avec ses deux mains musclées et commence à me caresser l’anus avec son gland bien lubrifié par le gel. C’est à mourir de plaisir. Je m’effondre un peu plus encore pour lui tendre mon cul et ne pas en perdre un centième de seconde. Je découvre alors que mon cerveau voit littéralement la scène et que mon trou ressent la forme et la dureté souple de son gland mouillé. Je vois mes poils collés par le gel, je vois son cul se contracter pendant qu’il va et vient dans la vallée poilue où j’invite sa queue puissante. J’ai presque peur de devenir fou et de ne plus jamais vouloir retourner dans le monde réel. Je sens sa main droite se glisser sous mon ventre et se refermer sur ma queue. Il me masturbe en cadence au même rythme que le glissement de son pénis contre mon anus. Il s’applique à jouer aussi dans le creux qui sépare mon trou du bas de mon dos, là où se termine la toison qui habille mes fesses. Etrangement sensible, cette courbure de mes reins accueille son pénis comme si mon corps avait été moulé dessus et créé depuis le premier jour pour cette fusion. C’en est trop, je ne tiendrai pas longtemps. J’entends du fond de lui venir le même râle que celui que je n’ai pas pu retenir tout à l’heure. Il jouit de l’intérieur de lui-même. Il me caresse le dos de sa main libre alors que l’autre n’en n’est plus à faire monter mon ...