COLLECTION RÊVE ET RÉALITÉ. L’île déserte (2/2)
Datte: 30/04/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... jouissance.
La longueur de celle de mon noir m’évite cet inconvénient, mieux même, des orgasmes à répétition ponctue chaque empalement que je m’impose.
Un autre avantage, le dernier avant que je retombe sur la poitrine de mon amant, je hurle mon plaisir sans grands risques de déranger voisins et enfants.
Quelle heure est-il lorsque je finis par me réveiller, je suis toujours dans cette même position, le sexe de mon amant toujours bandé bien au tréfonds de mon intimité.
• Tu te réveilles petit bébé, j’ai encore envie de toi.
Il me bascule sous lui et cherche ma bouche, dernier réflexe de femme mariée, je tourne la tête pour le repousser.
C’est ma manière de rester fidèle à l’homme qui a fait de moi une femme, certes loin de la salope que je suis depuis que j’ai saisi cette queue gigantesque.
Au plus profond de cette nature, je deviens femelle et non femme lorsqu’il me fait repartir dans mes délires érotiques.
Tout à une fin surtout quand on a faim.
Je finis par me libérer et prenant le couteau que Romuald a laissé planté dans une noix de coco, je quitte pour la première fois notre campement sentant la nécessiter de digérer ce que je viens de faire.
Pourquoi le couteau ?
J’ai entendu parlée de l’île aux serpents et la phobie que j’ai de ces reptiles, fais que je préfère être armée si par malheur une de ces petites bêtes vient à traverser ma route.
Mes pieds eux aussi dénudés me brulent, je prends ça comme une punition pour ce que je viens ...
... de faire avec Romuald, comme le fond les pénitents se flagellant pour expier leur pêcher.
Je retrouve une autre plage, identique à celle de l’autre côté de l’île baignée par le même soleil.
Je marche à la lisière de l’eau rafraichissant ma voute plantaire.
Devant moi, une forme se traine, c’est une grosse tortue qui finit par rejoindre l’onde bleue et disparaitre à ma vue.
La trace qu’elle a laissée, va vers les palmiers, elle est venue pondre.
Je glisse ma main sous le sable, je sens des œufs, j’en sors un, il est tout chaud.
C’est à ce moment que je ressens la faim, je plante la pointe du couteau et je gobe ce qui aurait pu devenir une grosse tortue comme ça maman.
Combien d’œufs, certainement protégés comme le sont toutes les tortues je gobe comme je le faisais pendant ma jeunesse.
C’est repu, que la tombée de la nuit me surprenant, je me couche au pied d’un rocher en boule même si la chaleur du sable et de la nuit me permet de dormir.
Deux jours et deux nuits, je reste là, rongeant mon frein sachant trop bien la faible femme que j’ai montrée en cédant à mes bas instincts de femelle en chaleur.
La deuxième nuit, un orage éclate, comme lady Chatterley dont nous avons regardé le film la veille de notre départ, c’est nue que je danse sous la pluie me lavant du sable et du sel qui parcelle mon corps.
J’ouvre la bouche, l’eau tombe dedans me montrant que ce liquide est la source de la vie.
L’orage passé, je rejoins mon trou jusqu’au matin, ...