Saga Africa pour Olga (2)
Datte: 30/04/2025,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Olga T, Source: Hds
... quelques minutes plus tard.
***
Alors qu’Olga, satisfaite, s’était endormie rapidement, Philippe avait eu du mal à trouver le sommeil. Il était très fier de sa prestation de ce soir. Olga avait pris son pied comme rarement, même s’il savait que ça ne lui suffirait pas et qu’il faudrait très vite passer à la vitesse supérieure. Mais s’il avait choisi ce lieu de vacances, c’était pour ça. Il avait d’ailleurs lui aussi envie de voir sa chérie se faire démonter par des mâles vigoureux. Il comptait bien qu’elle n’ait guère de répit dans sa recherche du plaisir.
Philippe n’avait que rarement rencontré un autre couple qui, comme lui et Olga pratiquait le candaulisme. C’était le cas d’Eddy et Frida. Et puis, il devait le reconnaitre, lui qui appréciait les femmes à forte poitrine, Frida l’attirait. Il était certain qu’elle devait exceller dans la pratique de la branlette espagnole et la cravate de notaire. Or, Olga, même si seins, très érogènes, s’étaient développés avec ses grossesses, affichait du 90B. Philippe se demandait quelle était la taille de la poitrine de Frida. Alors qu’il bandait, il se dit que ça devait être au moins du 100D. Seulement, il allait falloir jouer serrer, car, si lui partageait bien volontiers la belle Olga, il n’y avait pas de réciproque. Olga était envers lui possessive, très jalouse, une vraie tigresse. Il se souvenait de précédents qui avaient failli très mal finir.
Comme dans toutes ces régions tropicales, le lever du jour intervient ...
... tôt au Sénégal. En ce mois de février, c’était un peu avant 7h30, pour un jour qui durait un peu moins de 12h00. Olga dormait encore profondément. Philippe renonça avec regret à sa pipe matinale. Sans faire de bruit, il se prépara, se vêtit d’un short et d’une chemisette. La température était supportable. Au bord de la grande piscine, Eddy, seul lui aussi, prenait déjà son petit déjeuner, en fait s’était abondamment servi au buffet. Il fit des grands signes à Philippe. Avec son accent, son ventre bedonnant et son short à fleur, Eddy n’était pas du genre discret :
• Salut, Philippe, viens donc t’assoir avec moi !
Philippe le trouva lourd dans tous les sens du terme, mais Eddy était un passage obligé et un complice pour ce séjour. La veille, il lui avait expliqué qu’ils venaient chaque année et donc connaissait tout le monde à l’hôtel et au village à proximité. Il avait ajouté, avec un rire gras :
• Tu peux pas imaginer le nombre qui sont passés sur ma Frida !
Philippe accepta donc l’invitation d’Eddy, se contenant de commander un café. Il prendrait le petit déjeuner plus tard, avec Olga.
• Frida dort encore ?
• Normal, avec ce qu’Issa lui a mis hier soir ! Deux heures qu’il l’a démontée. Des vraies forces de la nature ces types.
• Nous avons entendu. Ca a émoustillé Olga !
• Et tu en as bien profité, mon salaud !
• C’était super, mais je sais qu’elle a besoin d’autre chose, de plus. Je suis venu ici pour ça ! Je veux qu’elle en profite à fond. Mais, ...