1. Douce Folie


    Datte: 29/04/2025, Catégories: amour, 69, aliments, attache, rencontre, Auteur: Slaanesh, Source: Revebebe

    ... chaque courbe, en écoutant les battements de cœur puissant de cet homme à qui elle vient de s’offrir sans aucune retenue. Et lui frissonne d’un plaisir non feint à ce contact, en sentant les petites griffures qu’elle laisse à une ou deux reprises sur sa peau bronzée.
    
    Lui aussi est couvert de transpiration, et cherche à reprendre son souffle, le corps secoué des ultimes soubresauts d’une extase ineffable, les mains enfin détachées posées amoureusement sur les courbes envoûtantes de sa naïade. Après une telle chevauchée et la délicieuse agonie de la « petite mort », quoi de plus normal que d’avoir les plus grandes peines à retrouver son souffle et à être couvert de transpiration et des sécrétions intimes de l’autre…
    
    … Après s’être fait jouir mutuellement à coups de caresses buccales frénétiques ; affamés et assoiffés du corps de l’autre, il leur en faut plus, beaucoup plus. Même l’utilisation de la chantilly sur leur intimité et sur leurs tétons – bien que plutôt amusante et follement excitante – n’a pas calmé leurs ardeurs et leurs envies de luxure – ni entamé l’érection de son vaurien. Lui-même s’étonne de ne pas baisser le pavillon après une telle salve d’ouverture. Mais aucun d’eux ne va se plaindre de pouvoir remettre le couvert dans la foulée, pas avec cette envie ardente de l’un de l’autre qui les consume. La jeune femme ne perd pas un instant. Puisque, malgré le tir de barrage de foutre qui lui a inondé le palais, il n’y a aucune débandade en vue… autant en ...
    ... profiter pour passer à la suite des réjouissances et s’offrir une petite cavalcade.
    
    Allongée tout contre lui, la petite dévergondée s’est remise à frotter sa vulve encore ruisselante de sa première jouissance sur le sexe de son amant, cette fois sans la barrière de tissu du jean, lubrifiant encore un peu plus le mât de chair qu’elle compte bien chevaucher jusqu’à plus soif. Puis, d’un petit mouvement agile et sexy du bassin, elle a conduit le membre juste à l’entrée de sa grotte. Son regard plongé dans celui du pirate de son cœur, en appuie sur ses mains posées au sol, elle a lentement fait coulisser la matraque de chair entre les lèvres de sa conque humide. Le gland turgescent s’est alors frayé, centimètre par centimètre, un chemin entre les douces parois vaginales. L’intromission de ce vit plein de sève, bien qu’un peu compliquée par l’étroitesse du conduit, est néanmoins grandement facilitée par l’abondante lubrification des chairs. Elle a alors entamé un langoureux et érotique mouvement de va-et-vient, s’enfonçant un peu plus, un tout petit peu plus, à chaque aller-retour sur cette tige qui l’explore plus profondément chaque seconde. Elle en profite pour en même temps, frotter ses tétons durs et tendus de désirs, sur ceux de celui dont elle fait, pour l’instant, son objet sexuel, attaché et à sa merci.
    
    Mais l’objet sexuel en question ne compte pas se contenter d’un rôle passif. Non ! Une fois que son gland a enfin pénétré les chairs tendres et accueillantes qui s’écartent ...