La serveuse partie 1
Datte: 28/04/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Cplcandaudu60, Source: Hds
Nous avions à cette époque une petite trentaine d’année et nous avions en projet la construction d’une maison.
Il fallait donc économiser, voire mettre un peu d’argent de côté.
Pour cela, Nathalie et moi faisions quelques petits extras quand on pouvait.
Je faisais des petits chantiers le week-end et elle, avait trouver un job de serveuse en plus de son travail, pour plusieurs soirs en semaine ou week-end.
C’était une pizzeria à quelques kilomètres de chez nous.
Elle était tenue par deux frères, Pietro et Luigi.
Le premier était un homme d’environ 45 ans, un mètre soixante-dix, frêle, brun, la peau mate et très speed.
Le second était une masse, un mètre quatre-vingt-dix, dépassant les cent kilos, mais pas gras, à peine cinquante ans, chauve, mate aussi, beaucoup plus zen que son frère et qui parlait peu.
Ni beaux ni moches, ils avaient chacun leur charme.
Etaient-ils vraiment frères ?
Vu la différence de corpulence, ils étaient certainement plus frères de camaraderie que de sang.
Pietro s’occupait de la cuisine, du bar et des additions, Luigi, lui, était le pizzaïolo.
L’entrée du restaurant donnait directement sur la salle, avec à droite le bar et la caisse.
Une petite salle d’une vingtaine de mètres, avec au fond à droite dans un renfoncement, un comptoir assez haut derrière lequel se trouvait le four à pizza et derrière ce comptoir de nouveau à droite, l’entrée de la cuisine.
Nathalie avait une bonne expérience du service en ...
... salle, ce qui lui a permis d’avoir ce deuxième boulot sans soucis.
Pietro était la caricature parfaite de l’italien dragueur et beau parleur, alors que son frère était beaucoup plus réservé et ne parlait quasiment pas.
La tenue de serveuse était classique, jupe au-dessus du genoux et chemisier blanc.
Quand Pietro passait à côté de Nathalie, il avait tendance à laisser trainer ses mains.
Volontaire, involontaire, il était difficile de savoir tellement il gesticulait.
Pas un mot ne sortait de sa bouche sans que ses bras ne bougent.
Pourtant au fur et à mesure du temps, ses mains se sont avérées plus précises, il faut dire que la forte poitrine de ma femme qui tendait le chemisier et son petit cul rebondie sous sa jupe pouvait donner des envies d’exploration.
Nathalie qui voyait la chose arriver et n’étant pas complètement contre, m’en a parlé en me demandant mon avis.
Je lui ai dit :
« Tu sais c’est un deuxième boulot provisoire, tu n’y resteras pas très longtemps, donc si tu veux joindre l’utile à l’agréable »
Elle m’a répondu :
« Oui, mais il y a son frère, je vais me sentir gênée car il risque de s’en rendre compte. »
En riant je lui ai dit :
« Tu n’as qu’à te taper les deux »
Libertin depuis nos débuts ensemble et moi étant candauliste, elle savait que s’il elle avait envie d’un autre homme, elle pouvait consommer.
Alors petit à petit les mains de Pietro ont pris de l’assurance, voyant que ma femme ne disait rien et ne le repoussait ...