La Grenouille - Histoires de Sexe

La Grenouille

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Audacieusement, saisissant sa chance, il prend en coupe un sein nu : « Grenouille, regarde ce gros nichon » Elle ne proteste pas, alors il envoie l’autre main saisir le deuxième sein : « Très beaux seins, vraiment très beaux » s’exclame-t-il pensivement. Saisissant les tétons entre ses doigts, il les presse et les fait tournoyer : « Grenouille, tu vois ces seins, comme ils sont beaux et fermes ? »

Elle se laisse faire. Croit-elle qu’il agit ainsi à des fins pédagogiques ? Elle est nue, dans le lit conjugal, et un inconnu lui tripote la poitrine. Elle ne se sent pas embarrassée, ni contrainte, elle est juste émoustillée. Elle est confuse. Seul son mari a le privilège de son corps. Ce type la tripote, intimement, et ça l’excite !

Tout en massant gaillardement sa poitrine, l'homme passe au sujet principal, celui qui le préoccupe depuis son arrivée, la chatte de la jeune femme blonde : « Votre sexe est splendide. Je n’avais jamais vue une petite chatte aussi mignonne, aussi bien dessinée. Vous pourriez servir de modèle pour un peintre avec une chatte aussi fabuleuse. En plus, elle est à peine entrouverte, elle brille dans la lumière, on dirait une rivière de diamants disposée sur un lit de velours »

Le désir lui monte au cerveau, et il devient lyrique. Mais il se reprend vite et se concentre sur le sujet qui l’intéresse : « D’où je suis placé, je peux voir entre vos lèvres entrebâillées que vous êtes remplie de mouille, donc parfaitement excitée. La grenouille ...

... peut le voir aussi, je ne comprends pas ce qu’elle attend. Décidément, je ne comprends pas cette grenouille. À sa place, je sais bien ce que je ferais »

Elle est tout simplement subjuguée. Son mari n’est pas très bavard, avare de compliments, et parfois un peu rustre dans son approche des rapports sexuels. Elle est décontenancée par l’attitude cavalière de ce type qui s’empare de ses seins, les tripote, la fait mouiller, en lui racontant des bêtises sur sa beauté. Comme elle ne semble pas s’offusquer, le type profite de son avantage : « Au fait, votre chatte est à présent béante, et trempée de mouille, ai-je raison de penser que vous êtes prête pour la grenouille ? J’ai raison, n'est-ce pas ? »

Elle hoche la tête sans pouvoir parler. On dirait une petite fille prise en faute. Cet homme séduisant la captive, mais pas seulement. Il l’ensorcelle et la désoriente.

Une autre minute passe, sans évolution notable. Elle ne lui a rien proposé, et elle n’est pas assez excitée pour qu’il puisse lui grimper dessus. Il faut la travailler encore un peu pour qu’elle dépasse ses inhibitions. Il libère ses seins et se redresse :

« Essayons autre chose. Nous devons appâter la grenouille. L’attirer, pour ainsi dire. Posez vos deux mains à plat de part et d’autre de votre chatte, et écartez au maximum. Il faut que le grenouille voit bien ce que vous attendez d’elle. Allez, ouvrez bien ! »

Sans aucune timidité, elle obtempère, le regard fixé sur le visage du gars, pour épier ses ...