Les malheurs de Clotilde Ch. 19
Datte: 27/04/2025,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
... suffisamment puissant pour percer la plupart des oreilles, sort du plus profond de mon être. Mon anus est étiré, ouvert, au-delà de tout ce que j'ai pensé possible. La douleur est plus que crédible, irradiant dans tout mon corps avec mon trou-du-cul comme épicentre. Le premier viol de ma chatte quelques instants plus tôt, ne m'a pas faits autant mal. Même mon premier dépucelage anal n'a pas fait autant mal. C'est encore une toute nouvelle dimension de la douleur que j'expérimente, la pire de toutes. Greg quant à lui, ne montre aucune pitié.
Tenant ma taille étroite et mince dans ses mains puissantes, il m'a pénétré millimètres par millimètres. Chaque avancée me faisant hurler encore plus fort. J'ai crus que cette pénétration affreuse à durée des heures et des heures, mais il ne lui a fallu que quinze minutes pour entrer suffisamment de sa bite en moi, suffisamment à son goût. Il a ensuite commencé à baiser grossièrement mon cul, me violant, m'enculant à un rythme sauvage, violent, impitoyable.
- Aieeeeeeeeee! Noooooooooooon! Aaaaaaaaaaaaa!
Déjà, à ce stade, j'étais bien au-delà de me soucier de ma dignité, de ma promesse de ne pas le supplier. À chaque poussée, une autre explosion de douleur, encore pire que la précédente, enveloppe mon corps fragile. Chaque fois un autre cri déchirant, douloureux et tourmenté sort de ma gorge qui me torture.
- Merde, elle n'a même pas gueulée comme cela quand on lui a fisté le cul la première fois!
Je ne sais pas lequel ...
... des spectateurs à commenté, mais à ce stade je ne me soucie pas de le savoir.
À chaque fois, à chaque coup de reins, Greg enfonce plus loin sa bite dans mon trou-du-cul plus que douloureux, l'étirant bien au-delà du seuil de la douleur, de ses limites. Je sais que seul l'opération que m'a fait subir l'américain l'empêche d'être ruiné, déchire à jamais par la brutalité et la puissance de cet assaut.
- Pitiéeeeeeeeeeee!!!
Je supplie, je ne pense qu'à une chose : que ce viol anal se termine le plus vite possible. Même si Greg me viole encore plus fort, je sens qu'il va durer encore longtemps.
Le temps s'arrête pour moi, je suis maintenant piégée dans un vide intemporel d'agonies, de tortures anal, de souffrances affreuses. Je suis maintenant incapable de remarquer autre chose que la douleur brûlante, incandescente qui ravage mon corps fragile. Puis je sens le ventre de Greg frapper contre mes fesses fermes, ses couilles cogner contre ma vulve. Il vient d'entrer complètement, de plonger sa bite aussi loin dans mon cul qu'il le peut. Là, mon agonie, ma souffrance est multipliée mille fois. Même quand il se retire pour se préparer à une autre poussée destructrice, je ne remarque même pas que ma douleur diminue légèrement.
La seule chose que je remarque c'est quand mon bourreau lâche ma taille... mais avant même que je ne puisse penser à essayer de ramper à nouveau pour le fuir, de ses deux mains, Meyer presse ma tête et ma poitrine vers le sol. Aidant son ami à me ...