Professeures Bizutées - 4/8
Datte: 27/04/2025,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bychdecrivain, Source: Literotica
... prie, j'ai besoin de quelques jours.
Ecoutez mademoiselle, je veux bien vous aider mais je dois respecter les règles de la médecine, vous comprenez j'espère. Revenez lundi soir vers 18h. Nous verrons si deux jours, dimanche et lundi, auront dégradé la situation ou non. Si je vous trouve encore tellement nerveuse, je vous donnerai quelques jours d'arrêt, promis.
- Vraiment, vous ne pouvez pas me...
- Il suffit maintenant, déclara sèchement le médecin! Je vous attends lundi soir et, cette fois n'oubliez pas de venir. Vous savez ce qu'il en coûte de trop tarder.
- Bien docteur, répondit-elle abattue.
Au moment de franchir la porte, il ajouta :
- Encore un détail, mademoiselle. Lundi, venez nue sous votre manteau.
- Mais... mais comment ça?
- Je répète, venez nue, ça veut dire sans vêtement! Vous comprenez le français?
- Mais ce n'est pas médical, docteur!
Il haussa le ton.
- C'est parfaitement médical pour votre traitement. Votre corps ne doit pas avoir de contraintes vestimentaires qui viendraient freiner la circulation, fausser le diagnostic. Donc, vous venez nue sous votre manteau et, je vous le dis, ça ne m'amuse pas de devoir subir vos allusions négatives à l'égard de mes pratiques. Au revoir mademoiselle.
Elle quitta le cabinet, le visage maculé de sperme, en passant devant un client qui attendait son tour.
LUNDI
/JULIE /CHARLES-HENRI /LE MEDECIN et son assistant RIZZO
Les élèves déposèrent leurs téléphones dans la bannette ...
... dédiée. Les bras croisés, tant en signe d'autorité que de protection, elle veillait à ce qu'aucun n'oubliât son obligation. Tous les professeurs s'étaient habitués à cette règle interne, tout particulièrement les professeures bizutes. Elles avaient bien compris que cela permettait aux maîtres bizuteurs de les mieux tenir sous leur coupe mais elles ne doutaient pas que c'eût été infiniment pire si elles étaient aussi soumises aux élèves. Même les autres enseignants, males ou femelles, appréciaient la discipline qui renforçait leur autorité. Charles-Henri entra en dernier, déposa lentement son téléphone, tout en chantonnant "A poil les bizutes, à poil les bizutes, à poil..." Il se plaça au premier rang avec les yeux volontairement fixés sur la poitrine de Julie.
Elle avait un gilet à trois boutons qu'elle devrait ôter : le premier au quart de l'heure, le second à la demie heure, le dernier au trois quarts de l'heure.
Elle commença par le bouton du bas en se tournant vers le tableau. Dès qu'elle fit face au élèves, ils virent immédiatement l'effet de la tension supplémentaire du tissu sur les deux boutons restants. Elle choisit de passer la première demie heure debout et poursuivit son cour, difficilement, de plus en plus nerveuse.
Quelques minutes avant la seconde échéance, elle prit place sur sa chaise avec toujours l'infernal souci de ne pas montrer ses bas ou son entrejambes. En se cachant d'un bras dont elle posa le coude sur le bureau, elle ôta le second bouton. Le ...