Professeures Bizutées - 4/8
Datte: 27/04/2025,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bychdecrivain, Source: Literotica
... Discipline-Team à la lettre : les jambes toujours écartées, même en prenant une douche, en déjeunant, en urinant. Elle dormait alternativement sur le dos et sur le ventre, le cul hautement remonté par un traversin. La nuit, elle laissait entrouverte la porte de son appartement. Elle ne sortait jamais sans ses vulgaires bas de soie et ses gilets trop étroits.
La perspective de reprendre les cours le lundi l'alarmait. Comment serait-elle accueillie? Quels nouveaux tourments allaient-ils encore inventer? Elle avait déjà donné un cours les seins complètement nus, cela allait-il continuer? Voire plus?
Le vieux médecin représentait une dérobade. Mais elle devait choisir entre charybde et scylla. La douleur et la honte dans un cabinet médical contre la honte devant des lycéens boutonneux et des profs vicieux. Elle choisit charybde, non sans avoir trop tardivement essayé de trouver un autre médecin. Il lui avait donné rendez-vous pour le samedi matin à 10h.
Forcément très contractée, elle fut à l'heure pour ne pas indisposer le thérapeute. Deux hommes attendaient leur tour en lisant une revue. Elle prit un des deux sièges en face d'eux. Sans jamais détourner le regard, ils fixèrent la jolie blonde dont les longs cheveux descendaient sur les épaules. Une revue lui donna un peu de contenance devant cette insistance gênante.
Vingt minutes, longues, passèrent avant qu'un homme ne sorte du cabinet.
- Mademoiselle, s'il vous plaît, le docteur a interrompu mon auscultation. ...
... Il veut vous voir tout de suite, avant tout le monde car il paraît que votre cas est urgent.
Elle entra. Assis à son bureau, il écarquilla les yeux en la voyant et s'exclama
- Mais comment donc mademoiselle, vous ne vous êtes pas préparée au traitement! Vous n'avez pas laissé votre corps respirer, se libérer! Il lui faut bien une demie heure sans aucune contrainte, je dis bien aucune contrainte, pour que j'intervienne efficacement. La barbe! Je pensais que vous aviez compris la dernière fois. J'espère au moins que vous êtes nues sous votre manteau.
Tout à fait accablée par l'invective du médecin, elle ne répondit pas.
- Ouais, j'ai compris. Vous n'avez rien suivi de mes directives. Je vais encore perdre mon temps. Bon, mettez-vous nue tout de suite, dépêchez-vous.
Elle obéit avec un sentiment de culpabilité. L'infâme médecin avait bien compris ce point faible chez Julie, une culpabilité certainement issue de l'enfance qu'il suffisait d'activer par des reproches. La raison ne venait corriger cette faiblesse que plus tard.
- Bien... Commençons par empêcher les microbes de passer par la bouche.
Il n'eut pas à forcer, elle avait déjà ouvert la bouche.
- Maintenant, activons le flux électrique des seins.
Elle avait déjà porté sa poitrine en avant. Il la massa, tira durement les bouts puis ferma les deux maudites pinces à cheveux.
- Il faut vous éviter la tentation de réduire la douleur. Comprenez-moi bien, Mademoiselle, ceci est fait pour votre bien. ...