1. Professeures Bizutées - 4/8


    Datte: 27/04/2025, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bychdecrivain, Source: Literotica

    ... trouva nez à nez avec les deux compères.
    
    - De retour, bizute Amélie! Salue comme il se doit.
    
    - Moi... moi je suis la grosse bizute... à vos ordres.
    
    - Ajoute ceci : maître François et maître Thomas. Recommence!
    
    Elle recommença, tête basse.
    
    - N'oublies-tu rien d'autre?
    
    Elle ouvrit son manteau pour montrer sa nudité et surtout sa chatte. Elle osa :
    
    - Mon mari m'a dit que vous seriez... modérés... s'il vous plaît.
    
    - Ouais, c'est ça, on va être... modérés, répondit François, tu vas voir comment on va modérer nos envies. Qu'il est con ton mec, il a tout gobé. C'est lui qui t'a trouvé ton manteau? Vraiment con ce mec.
    
    Cela excita les deux hommes qui l'emmenèrent dans un petit local qui servait de réserve. Ils ôtèrent le manteau, la penchèrent en avant sur le sexe de Thomas. François se plaça derrière, empoigna les larges hanches, colla son gland sur la chatte et poussa.
    
    - Putain, dit-il, elle mouille déjà. C'est qu'elle aime ça la salope! T'aimes bien avoir ton cul à l'air! Pas vrai?
    
    Il éjacula aussitôt, excité par ses propres mots. Thomas suivit de peu.
    
    Il la laissèrent à sa solitude, à la perspective de donner cours, nue sous un manteau raccourci, devant des lycéens baveux.
    
    Elle avait trois heures de cours ce jour là. Ce fut une horreur. Naturellement, les élèves remarquèrent son changement de tenue, son court manteau, ses jambes nues, le fait qu'elle conservait le vêtement pendant le cours. Elle se sentait terriblement gênée, comme jamais ...
    ... dans sa vie. Lorsqu'elle s'asseyait, le manteau remontait, elle devait prendre garde. Elle n'écrivit jamais en haut du tableau.
    
    AMELIE /FERDINAND
    
    Au sein des élèves, commença à courir le bruit qu'elle était nue sous son manteau. Ferdinand, qui était un lycéen brillant, mit en œuvre son talent en organisant un vaste pari. Chaque élève devait remettre cinq euros pour participer. Il était convenu que celui qui apporterait la preuve de la nudité ou la preuve de l'absence de nudité gagnerait le gros lot, c'est à dire l'ensemble des sommes déposées. Les stratégies pour apporter la preuve se mirent en place. Certain pensaient à une photo, mais les appareils étaient interdits en cours, d'autres à un miroir sous le bureau ou encore à un guet sous un escalier. Ferdinand avait son plan.
    
    JEUDI
    
    /ELISABETH RAMPLANT
    
    Le proviseur vint annoncer la confirmation de l'arrêt de travail de Julie. Il venait rarement en salle des professeurs pour leur laisser un domaine libre de confidences. Ce jour là, François le prof de latin préparait ses cours, DORON terminait de balayer la salle, Xavier le vacataire en math discutait avec Madame RAMPLANT.
    
    Elisabeth RAMPLANT était une grande brune d'1.80m, 45 ans, fière et stricte. Elle enseignait la physique. Mariée, deux enfants encore à la maison, un mari ingénieur, elle se donnait à fond dans son métier. Elle était réputée sévère mais juste par les élèves.
    
    Le proviseur déclara :
    
    - Je vous confirme l'arrêt de travail de Julie. Encore ...
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