1. Professeures Bizutées - 4/8


    Datte: 27/04/2025, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bychdecrivain, Source: Literotica

    ... approchez, je veux vous expliquer ce cas rare de veine anale bloquée... Penchez-vous sur la table, mademoiselle.
    
    Elle obéit, lentement, horriblement gênée pas ces deux regards soi-disant médicaux. Le médecin appuya d'un seul coup sur le dos de Julie pour lui coller la poitrine à la table. Cela déclencha un hurlement car les pinces furent bougées sauvagement sur les fragiles bouts de seins. Puis, il posa une main sur la vulve, son pouce à l'anus. C'est le pouce qui entra sans préavis.
    
    - Rendez-vous compte RIZZO, lorsqu'elle est arrivée ici, on ne sentait même pas sa veine en la doigtant. J'ai dû la goder à deux reprises. Aujourd'hui, je sens que ça va beaucoup mieux.
    
    Elle se sentit mortifiée par l'attouchement, n'osa pourtant pas parler.
    
    - Allez-y RIZZO, fourrez-la, vous allez voir que n'est presque normal.
    
    Un doigt sortit, un autre entra.
    
    - En effet, cher maître, je sens aussi cette veine mais moins que de coutume... Je vais voir avec deux doigts si c'est probant.
    
    Un doigt sortit, deux autres entrèrent. Elle avait mal au seins et mal au cul.
    
    - Elle est presque guérie, vous aviez raison, maître. D'ailleurs, elle mouille tellement que c'est signe de bon état. Une vraie fontaine celle-là.
    
    - Parfait. Enlevez-lui les pinces pendant que je termine l'ordonnance.
    
    Quand le sang revint aux bouts meurtris, elle ne put retenir un long cri.
    
    - Habillez-vous mademoiselle. Voici votre arrêt. Je vous ai mis neuf jours. Vous voyez, quand c'est justifié, je sais ...
    ... être large. Si vous avez besoin de prolonger au-delà, revenez vendredi en quinze et nous aviserons.
    
    Il la raccompagna à la rue sans lui laisser le temps de parler.
    
    Le docteur encaissa trente euros du patient de la salle d'attente et cinquante euros de RIZZO.
    
    MARDI
    
    AMELIE /FERDINANT
    
    Amélie, naïvement, arriva avec son nouveau manteau, fière du cadeau de son mari. Ils l'avaient acheté samedi mais comme Gabriel avait demandé qu'il fût raccourci, elle ne le porta que ce mardi. Elle en avait été toute émoustillée par ce désir de son corps.
    
    Leur week-end s'était passé comme à l'accoutumée. Ils n'avaient plus parlé du bizutage préférant taire cet épisode délicat. Pourtant, Gabriel restait à la fois inquiet et pressé. Inquiet car il ne doutait pas que Thomas exigerai qu'elle soit nue sous le court manteau et à dire vrai, il trouvait cela incroyablement osé. Pressé car il avait bien envie de voir sa prude épouse être obligée de sortir nue sous son nouveau manteau. Imaginer son tourment le faisait bander comme jamais. Il découvrait des nouveaux plaisirs, jusque là enfouis sous la chappe de la morale.
    
    L'alerte eut lieu en dernière heure de cours. Ferdinand, un élève assez calme et mature, l'interpela à la sortie de classe alors qu'il était seul avec elle.
    
    - Excusez-moi, madame mais c'est vous sur cette photo?
    
    Il lui montra une photo prise dans la salle de professeurs alors qu'elle tournait le dos à la porte. Elle avait ôté son manteau, sa main droite était sur ...
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