1. COLLECTION SALOPES. Vie mondaine (1/1)


    Datte: 27/04/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... sommes arrêtés sur un air d’autoroute, il m’a offert le restaurant.
    
    En ressortant il a parlé avec un força de la route.
    
    J’étais tombée sur un mec aimant regarder, je me suis retrouvée dans la cabine et sur la couchette qui sentait la sueur.
    
    Je dois reconnaitre qu’après l’avoir sucé ce qui était le plus déplaisant s’était de voir Ludovic sur le siège passager nous mattant tout le temps où je me suis fait baiser.
    
    Se faire baiser par une grosse queue prenant mon pied comme jamais, contre un voyage à Paris j’aurais pu tomber plus mal.
    
    Cette vie, je l’ai vécue jusqu’à environ trente ans ou j’ai commencé à m’apercevoir que mes charmes sans se faner étaient dépasser par de nouvelles jeunes femmes en mal de vie facile.
    
    • Patricia, voulez-vous m’épouser ?
    
    J’ai envie de dire oui, mais l’expérience acquise au cours des années, me fais dire « oui », mais « non ».
    
    Je sais c’est contradictoire, mais avant d’accepter, de convoler avec Charles-Antoine, je voulais consulter l’un de mes vieux copains de fac, qui était devenu avocat sur les droits maritaux.
    
    Se marier avec un milliardaire, j’en ai connu quelques-unes, mais un contrat mal ficelé et elle se trouvait un jour le bec dans l’eau ayant fané leur beauté avec leur valise à la main.
    
    • Oui, Charles-Antoine, je veux être votre femme.
    
    Oui dans la haute comme on dit, mari et femmes se vouvoient alors je suis la tradition.
    
    Côté contrat de mariage, deux closes principales.
    
    Si je le trompe, je vais ma ...
    ... valise avec ce que j’avais sur mon dos lorsque nous nous sommes rencontrés.
    
    Je rappelle que s’était au bord d’une piscine cannoise avec deux timbres-poste sur le corps.
    
    Mais si lui me trompait et que je puisse le prouver, les détectives ça sert à ça pour ceux qui ont de quoi payer.
    
    C’est le cas grâce à mon mariage, j’ai les moyens de faire chauffer ma carte de crédit et je toucherais 50% de sa fortune.
    
    Je rappelle que Charles-Antoine est milliardaire.
    
    Un revers à ça, les queues des hommes, à tout âge, elles me sont définitivement interdites.
    
    Mais j’en avais tellement connu que c’était loin d’être un problème.
    
    Dès le début, ce sont le fils et sa fille issue d’un premier mariage s’étant terminée par un décès et qui est devenu mon problème.
    
    Même âge que moi pour le fils et cinq de moins pour Régina.
    
    Charles-Henri étant comme son père, homme à faire du fric, rapidement la belle-mère il s’en ait fichu même s’il risquait de perdre gros si son père décédait.
    
    Pour sa part, il était déjà millionnaire.
    
    Pour la fille ça fut plus dur, j’ai dit que j’aimais faire l’amour avec les femmes dès le début de ma vie de débauche.
    
    Parlons pour commencer contrat, tout était précisé s’il y avait tromperie avec un homme, rien avec les femmes.
    
    Je savais que ces messieurs aimaient nous exhiber à leur bras lors de soirées mondaines et qu’ils choisissaient pour épouse des femmes capable de porter élégamment Dior, Cardin ou autre Givenchy.
    
    Moi je suis plutôt Dior, la ...