« Josy »: Grosse surprise pour la petite salope. Épisode 16
Datte: 25/04/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... intéressante.
J’étais bien avec John, je ne regrettais pas la nuit passée dans ses bras. Néanmoins, j’avais hâte de revoir l’amour de ma vie. N’étant pas très rancunière J’étais donc rentrée à l’hôtel et avait présenté à Jean-Lou, mon ami musicien avec lequel nous avions déjeuner. Ayant découchée, il était normal que j’appréhende sa réaction, pour le rassurer : « Ne t’inquiète pas mon chéri, j’ai dansé toute la nuit et mon ami m’a invité à dormir dans son canapé. » Lui avais menti en l’embrassant avant de lui murmurer : « je t’aime mon amour. » Jean-Lou en gentleman, ne m’avait pas semblé très jaloux, il m’avait répondu à l’oreille : « Moi aussi, mais il faudra que l’on parle en privé. »
Pendant le déjeuner, mon homme appréciant beaucoup le jazz et tous les styles de musique afro afro-américaine, la conversation entre nous tourna naturellement autour de ce sujet. À l’époque, le jazz commençait à être bien apprécié dans les villes de province, cependant en campagne les jeunes ne le connaissaient à peine. Soudainement, Jean-Lou eut l’idée d’en faire sa promotion. Il demanda à John s’il lui arrivait de faire des petits concerts à l’extérieur de sa boite. Mon ami le pianiste était déjà allé avec ses amis musiciens dans des villes de province : « Pourquoi pas chez toi, Jo ? »
C’était une excellente idée et l’occasion de rendre la pareille à celui qui m’avait, non seulement donné beaucoup de plaisir sexuellement mais également donné l’idée de m’investir dans un lieu où la ...
... musique et la danse étaient reines. Après en avoir parlé ensemble, je l’avais invité avec son groupe et sa chanteuse à venir se produire sous ma grange en semaine, au mois d’avril 1976 afin d’ouvrir la saison estivale : « Ne t’inquiète pas, j’ai de la place pour vous coucher tous à l’étage. » En effet, hormis mon petit appartement, les anciens propriétaires louaient sans le déclarer, quelques chambres qu’ils avaient aménagées.
À la fin du repas, après nous être convenus de la date et du cachet, John nous avait laissé en amoureux. Le soir au dîner, j’étais impatiente de savoir ce que Jean-Lou voulait me dire. Néanmoins, il me fit comprendre que ce n’était ni le lieu ni le moment. Toutefois il m’avait simplement dit en riant que je ne savais pas mentir : « Je sais qu’il te plait beaucoup ton ami. » Je fus surprise et très gênée. Ce ne fut que le soir, dans notre lit, que je lui avouai qu’il m’arrivait de le tromper et John faisait partie de mes amants : « Tu sais mon chéri, si tu passais toutes les nuits avec moi… »
Il me mit son doigt sur ma bouche afin de m’empêcher de finir ma phrase et me prit dans ses bras : « Je t’aime Jo mais je dois absolument te dire que je ne peux pas vivre avec toi. » Je sentais qu’il avait des difficultés à poursuivre, il me cachait quelque chose : « Mais pourquoi, parle-moi. » Ce fut les larmes aux yeux qu’il me répondit franchement : « J’aime aussi les garçons. Tu es la seule femme dans ma vie. » C’était un véritable choc d’apprendre que mon ...