1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1608)


    Datte: 23/04/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... spectateur de sa propre vie, comme si le monde réel perdait à ses yeux sa cohérence intrinsèque, plus rien ne lui paraissait naturel ! Il n’avait plus le sentiment d’être l’investigateur de son propre fonctionnement, mais d’être simplement l’observation d’un fonctionnement automatique qui ne nécessitait plus son intervention. Il en était arrivé au point où il se considérait comme un simple objet, telle une machine sexuelle perfectionnée projetée dans cet univers de dépravation sordide, sans pour autant en avoir le contrôle… Cette crème aphrodisiaque que Monsieur le Marquis lui avait introduit dans le cul le rendait comme fou, fou de sexe, avec un besoin charnel jamais vécu et ressenti jusqu’ici ! Cette déliquescence, cette vie immorale et dissolue le conduisait pourtant à l’épanouissement. Il se voyait là, à terre, telle une bête avec ses chaleurs affamées, et en prenait un réel plaisir, sa nouille raide perlant à grosses gouttes !
    
    - Flaire et lèche bien son trou à cette petite salope, imprègne lui sa corolle de ta bave de clébard ! Ordonnait encore Monsieur le Marquis.
    
    Tel un chien enragé d’un puissant rut générant cet irrépressible besoin de copuler, esclave Greg, au contact de cet anus offert et dilaté préalablement d’un gode anal fraichement retiré, inspirait bruyamment, donnait des grands coups de langue sur ce trou ouvert, parfois même, cherchait à le mordiller. Ce côté bestial était exacerbé par la Volonté du Maître. Par tous les moyens en Sa possession, le ...
    ... Châtelain exerçait une perverse pression sur ces deux esclaves en chaleur. Il les drivait, les excitait tant et plus, les poussait dans cette perfidie si perverse et prenait un plaisir immense à les voir se comporter ainsi. Il n’y avait plus rien d’humain, juste animal aux plus bas instincts primitifs à la copulation dans leur comportement, ils n’étaient autres que deux esclaves lubriques, vicieux, impudiques et obsédés ! Pour le Maître l’objectif fixé semblait atteint, pour les deux esclaves l’objectif n’était pas encore réel tant que l’accouplement n’aurait pas eu lieu, tant que ce besoin de forniquer sauvagement, puissamment n’aurait pas été effectif … Pour corser le tout, les deux Dominas qu’étaient Marie la cuisinière et sa sœur jumelle Claire, jusqu’ici perverses spectatrices, avaient maintenant pris en main une cravache et assenaient des coups sur les omoplates et le fessier toujours tendus d’esclav’alex.
    
    Ces coups étaient terriblement rudes, mais au fil du temps, les sensations douloureuses, lancinantes et obsédantes se volatilisèrent sous l’effet anesthésiant et euphorisant des endorphines. esclav’alex était au-delà de la souffrance, dans un monde de pures sensations perverses. Son esprit s’évadait encore, il était là et ailleurs, il flottait en offrant son corps nu aux coups qui le lacéraient et que maintenant il acceptait comme une fatalité ou plutôt un bien-être mentalement masochiste à laquelle il ne pouvait, ni même avait l’envie de se soustraire. Sans cesse, il ...
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