1. COLLECTION HISTOIRE COURTE. Baiser ma belle-sœur dans le grenier de ma mère (1/1)


    Datte: 23/04/2025, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... perds le fil quelques secondes, mais je me reprends vite, me souvenant de l’odeur épicée de rousse qui m’a fait envie lorsque je tenais l’escabeau.
    
    Alors qu’elle me suce je pivote jusqu’à son entrejambe, j’ai l’impression que les effluves sont encore plus forts que tout à l’heure.
    
    J’arrive à défaire le bouton me libérant son abricot roux.
    
    Mon dieu que ça sent bon, ma langue vient naturellement sur son clito qui semble bien aimer, car c’est une vraie petite bite que je peux sucer.
    
    Elle recrache ma verge avant de lâcher des sons inaudibles, mais que je sais de plaisir avant de recommencer à me sucer.
    
    Ceux qui me lisent et qui ont une femme rousse dans leurs bras savent ce que je sens et ce que je ressens à sucer cette chatte, fort bien entretenue, Alicia a les moyens d’aller faire des soins de beauté.
    
    L’entreprise que gère mon frère est celle créée avant sa retraite par beau-papa.
    
    Il a tiré le gros lot professionnel et sexuel, si j’ai compris au moment des partages des tâches, il y a de l’eau dans le gaz entre eux.
    
    • Baise-moi, ton frère m’oublie trop souvent, son travail passe avant sa femme.
    
    Je me lève, elle ôte son débardeur ses seins me sautant au visage, même si je les ai déjà vus un soir de Noël ou je suis allé dans leur chambre en dessous de nous pensant que Sylvain était seul.
    
    Elle avait le bas et je suis ressorti confus de ce que j’avais vu, ce jour-là c’était la femme de mon frère.
    
    Là à mes pieds lorsque j’ôte ma combi, c’est une ...
    ... chienne qui se lèche les lèvres fort érotiquement attendantes que je la saillisse en me tendant ses bras.
    
    Pourquoi ce priver de ce plaisir, je sais, je trompe la maîtresse d’école que j’aime, mais quand l’homme devient bête, il est impossible de reculer ?
    
    Au contraire, je m’agenouille, je lui écarte ses longues cuisses et je plonge en elle.
    
    J’ai déjà trompé Antoinette avec une jeune mère d’une de mes élèves, mais c’était moins hard qu’avec Alicia qui dès que je suis bien au fond, enserre mon dos avec ses jambes.
    
    Nous avons eu d’autres aventures dont je parlerais plus loin.
    
    Dans les minutes qui suivent je la prends en levrette et je l’achève la faisant hurler de plaisir.
    
    C’est loin d’être grave, nous sommes seuls à quelques centaines de mètres de toute habitation.
    
    C’est à ce moment que j’entends la camionnette revenir.
    
    Je saute du matelas, je remets prestement ma combinaison, par chance, j’avais gardé mes chaussures, Alicia ayant besoin de récupérer.
    
    Je m’approche de la fenêtre.
    
    • Ça s’est bien passé pour vous, nous ici ça avance, commencez à charger, nous vous envoyons le reste, nous avons presque fini.
    
    Je sens ma verge encore tendue, malgré le plaisir que je viens de prendre à baiser ma belle-sœur, par chance la hauteur jusqu’au garde-fou, me cache à eux en bas.
    
    • Attention, j’envoie un matelas bien pourri à mettre pour le prochain voyage.
    
    Sylvain, tu peux monter, il faut faire descendre un vieux lit à barreaux qui si ça te va, je ...