LAURA 001: mes jeunes années 1/2 - Histoires de Sexe

LAURA 001: mes jeunes années 1/2

PENSEES RETRO 1/2

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Je me remémore mes jeunes années et ceci me fait revenir très loin en arrière dans ma vie.

Je suis née fin 1951 et j'ai grandie dans un village d'environ 350 habitants où tout se sait et où la moindre chose se colporte à la vitesse de la lumière et prend des proportions énormes.

Quand mon corps se transforme, il me reste encore deux ans à cirer les bancs de l'établissement que je fréquente.

Ce sont surtout ma poitrine et ma taille qui évoluent. physiquement je deviens une belle jeune fille blonde pas très grande mais bien proportionnée avec des formes attirantes.

Mentalement également je commence à me sentir différente. La mentalité de gamine disparait petit à petit et inconsciemment mon comportement change.

Très rapidement les garçons sont attirés par mon physique, mais aussi par mes attitudes et surtout mon regard de salope comme ils disent quand je les observe avec insistance.

Ils me tournent autour, me tiennent des propos assez osés et veulent me faire croire qu'ils sont plus évolués alors qu'en réalité ce ne sont que des jeunes puceaux et parfois vantards n'ayant aucune expérience amoureuse ou sexuelle.

Ce ne sont pas mes sourires, qu'ils qualifient d'aguicheurs, qui les découragent bien au contraire.

Quand ils parlent entre eux ils me traitent déjà de salope qui les cherchent. Il est vrai que j'en fais déjà beaucoup (trop) pour captiver leur attention car cela me flatte et m'excite de sentir ...

... leurs regards sur moi.

A l'école Marie Josée, une copine, me suit partout et s'assoit toujours à côté de moi. Je vais souvent la voir chez elle et un jour elle s'approche de moi et commence à me caresser la figure.

- qu'est ce que tu fais -

- tu es une bonne copine et je t'aime bien -

- moi aussi je t'aime bien, mais il ne faut pas faire ça -

Finalement la fois suivante elle a recommencé et je l'ai laissée faire, elle a caressé ma figure, mon cou puis ma poitrine, elle a passé un bras autour de mon cou et m'a embrassée sur les joues et ensuite sur les lèvres.

Finalement cela ne m'a pas rebutée et après ça j'ai continué à me rendre chez elle et ça été l'escalade: après les baisers sur les joues nous en sommes arrivées à nous rouler des pelles, les lèvres d'une fille me semblaient plus douces que celles des garçons. Cela me donnait des envies en m'échauffant entre les cuisses.

Les caresses sur la figure puis sur la poitrine par dessus les vêtements on évoluées. Nous nous caressions les seins en passant les mains sous les maillots et aussi le sexe d'abord la main glissant sur la culotte puis dans celle-ci. J'aimais les sensations que cela me procurait.

Puis cela s'est su dans le village car Marie Josée racontait tout à sa mère qui grande langue en parlait autour d'elle.

Mon père l'a su et m'a mené la vie dure me traitant de gouine.

Vexée j'ai cessé ce petit jeu et me suis concentrée sur les garçons que je voyais en douce.

A cette époque dans le ...