1. COLLECTION HISTOIRE COURTE. Robinson Crusoé et Vendredi (1/1)


    Datte: 18/04/2025, Catégories: En solitaire, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... me fais mal en construisant ou consolidant un de mes lieux de vie, c’est le bout du monde.
    
    • Je suis le propriétaire et le seul habitant de mon île.
    
    • Je peux téléphoner que l’on vient me chercher.
    
    J’éclate de rire, c’est bon de rire, ça m’était passé comme bien des choses comme d’avoir un vêtement, je suis seul, je vis nu.
    
    Les explications ont lieu, elle comprend dans la situation où elle se trouve.
    
    Je lui donne de mon eau, rapidement malgré des coups de soleil, elle reprend vie.
    
    Dans les premiers jours ici, j’ai été confronté à des coups de soleil.
    
    Au fond de mon abri, j’ai une mallette de secours et de la pommade que je m’étais fait amener dès la première rotation.
    
    Je peux la soigner, c’est la première femme que je touche depuis mon installation ici.
    
    • Tu es donc Robinson, je suis donc ton Vendredi.
    
    Par chance, elle a de l’humour et un fort joli cul.
    
    Depuis le début, une phrase, une situation dans les livres qui m’était livrée me permettait grâce à la veuve poignée d’expulser le trop-plein en moi.
    
    • Comment t’es-tu retrouvée dans cette barque.
    
    En anglais, mais en traduisant, je me sers du « tu » inconnu chez les rosbifs.
    
    • J’étais sur un voilier avec des amis, quand une tornade tropicale s’est abattue sur nous.
    
    Le bateau a coulé, j’ignore où sont mes compagnons, il y avait cette barque à l’arrière du voilier ou par miracle j’ai réussi à me hisser.
    
    J’ignore depuis combien de temps je dérive et par chance ton île était là et ...
    ... tu m’as sauvée.
    
    Me disant cela, elle se pend à mon cou et m’embrasse sur mes deux joues.
    
    C’est beau le corps humain, rapidement je sens ma queue lever la tête.
    
    On a beau être un Robinson dans l’âme, on est aussi un homme.
    
    Je m’écarte comme si un serpent inconnu sur mon île m’avait piqué.
    
    Nouveau rire, alors je pars à la chasse à la langouste.
    
    Dans mon île, elle pullule, certaines étant gigantesques.
    
    Si je veux, je peux en manger en faisant bouillir de l’eau de mer dans ma gamelle sur un feu de palme de noix de coco tous les jours.
    
    Là encore, des noix, il suffit de se baisser pour les ramasser.
    
    Langouste au citron vert, jus de coco et pulpe de coco avec pour finir des baies cueillies hier.
    
    Bref, nous nous couchons sur le lit de palme que j’ai confectionné pour moi, lui laissant le hamac, j’ai beau être solitaire, je suis resté un homme galant.
    
    Comme chaque nuit que j’ai passée ici, j’admire le calme de cette nuit de pleine lune bercée par le bruit des petites vaguelettes venant jusqu’à ma plage et aux myriades d’étoiles qui constellent mon ciel.
    
    C’est serein que je dors jusqu’à ce que je me réveille d’un coup ayant l’impression qu’un animal se pose sur mon bas-ventre.
    
    Rapidement la peur se mue en plaisir.
    
    Vendredi est descendu du hamac et viens de me caresser la verge.
    
    Sa main me saisit pour mieux me mettre dans sa bouche.
    
    Je dois reconnaître que je bande rapidement, c’est nettement mieux que ma veuve poignée.
    
    Je mets mes bras ...