1h30 d'horreur sur les Rails - Histoires de Sexe

1h30 d'horreur sur les Rails

... utilise le poids de son corps pour forcer la pénétration du god improvisé. Au début, il ne se passe rien, puis d'un seul coup, l'accoudoir s'enfonce au plus profond de la jeune femme, lui élargissant démesurément la vulve et le vagin et s'arrêtant contre le col de l'utérus. Nathalie ne peut s'empêcher de retenir un cri de douleur monumentale heureusement étouffé par la bite d'Ahmed toujours au fond de sa gorge.

Les deux garçons échangent un regard complice et pervers, Ils se frappent dans la main dans un geste de victoire. Nathalie, au bord de l'évanouissement tant la douleur est insupportable, est complètement soumise. Karim dégrafe son pantalon et d'un geste sûr, ce crache dans la main et s'en badigeonne sa longue hampe. Ensuite, il se place derrière Nathalie et écarte encore davantage les fesses de la pauvre fille dévoilant l'étoile de son anus qu'il pénètre d'un coup sec. Nathalie, les yeux mi-clos, n'a aucune réaction alors que les deux hommes la défonce de part et d'autre et qu'un liquide épais et rose colore la moquette verte de l'accoudoir qui lui ravage le vagin.

Les violeurs donnent maintenant de grands coups de bite de manière synchronisée : lorsque l'un est au fond de sa gorge, l'autre est au fond du trou béant et baveux qui remplace désormais l'anus de Nathalie. Sous les coups de butoir, les fesses de la jeune femme ondulent et ses tétons forment deux cercles en frottant sur le velours des sièges. Après dix minutes de ce petit jeu, ils échangent les rôles ...

... puis n'y tenant plus, finissent par se vider les couilles, l'un directement dans l'œsophage et l'autre dans le côlon de leur victime. Ils se retirent ensuite prestement et après quelques minutes de repos, ils se mettent à uriner sur Nathalie qui n'a pas bougé de la position dans laquelle elle était. Ils lui souillent ainsi les cheveux, les fesses et s'attardent aussi sur son visage. Pour finir, ils se masturbent en la contemplant et la couvrent de sperme du mieux qu'ils le peuvent.

Une heure plus tard le TGV entre en gare de Lyon, Natalie est dans la position exacte où ses ravisseurs l'ont laissé, la tête coincée entre les appuis-tête, les cuisses largement écartées, l'accoudoir central enfoncé jusqu'à la garde dans le vagin. Ces bras sont toujours attachés dans son dos, ce qui fait pendre ses seins tuméfiés le long des dossiers des sièges. Sur le sol une petite flaque rose où se mélangent urine, sperme et sangs témoignent de la violence de l'agression. La jeune femme a depuis longtemps perdu connaissance : son cerveau s'est déconnecté dans une ultime tentative de protection.

C'est ainsi que les secours prévenus par le petit ami paniqué la retrouvent une heure trente après son départ de Valence.

Nathalie, passera de longue semaine à l'hôpital où elle sera d'abord placée dans un coma artificiel afin de soigner au mieux ses blessures physiques. Elle passera ensuite en psychiatrie afin de l'aider à se reconstruire et à accepter son agression. Les séquelles seront énormes ...