Quelques chose de bleu, d’emprunté et du stupre (2) - Histoires de Sexe

Quelques chose de bleu, d’emprunté et du stupre (2)

... de chez Rittrati Milano avec soutien-gorge coque en dentelle et soie, slip brésilien et porte-jarretelless dans un blanc presque virginal (c’était loin d’être le cas de sa chère Béa). Le charme de cette lingerie résidait principalement dans les petits bijoux que l’on retrouvait à l’entre-seins et à la taille du porte-jarretelles.

- Tu es toujours aussi belle mon amour, cette lingerie me donne quelques idées lui glissa-t-il alors que sa main remontait du bas blanc vers sa peau nue.

- Tu es sérieux alors que tes parents dorment en dessous lui répondit-elle avec difficulté alors que sa main à lui commençait à tester la dentelle de son slip brésilien.

- Mais si, ma Béa dois-je te rappeler ce qui s’est passé au dernier nouvel an.

Il faisait référence au soir de la Saint-Sylvestre où ils s’étaient offert un super quickie entre les flageolets et la dinde aux marrons contre la porte de sa chambre. Cela sembla illuminer ses yeux à ce moment magique car elle n’hésita plus à aller chercher son membre bien rigide dans son pantalon.

Ce fut encore un moment extraordinaire entre eux deux et fort heureusement il sut être discret pour ne pas être entendu par ses parents.

Il repartit tard dans la nuit par la roseraie avec une Béa en état d’extase qui le regardait amoureusement par la fenêtre. II rejoignit Miles à la voiture après un dernier baiser envoyé à sa bien aimée. C’est tout heureux et excité en vue de la journée du lendemain qu’il s’endormît paisiblement.

Il y ...

... aurait tellement à dire sur les deux jours suivants, tellement de bons moments, tellement de tendresse dans chaque geste, dans chaque mot, c’était un moment figé pour l’éternité.

Le mariage avait été féerique, ils avaient une chance inouïe pour ce 23 juin, il faisait un temps magnifique, il ne faisait pas non plus trop chaud avec un bon vingt-six degrés avec un petit vent léger très plaisant, le soleil était au rendez-vous.

La petite ouverture au milieu du Colisée en ce début d’après-midi laissait donc filtrer un soleil qui illumina l’autel.

Il remonta l’allée au milieu du parterre de sièges de l’assemblée en compagnie de sa maman, qui était très émue aussi, jusqu’au pasteur et au maire de Sondernach qui célébreraient le mariage en même temps. Après avoir déposé sa mère sur un siège du premier rang, il s’installa à la place qui lui était dévolue et attendit la remontée des témoins et des demoiselles d’honneur.

D’abord Robbie et Diana (son meilleur ami faisait le dur mais là Cal sentait qu’il était heureux de ce moment) puis Franck et Astrid qui avait accouché il y a peine trois semaines d’un petit Willy (ils semblaient radieux et tellement heureux tous les deux, Cal n’était pas peu fier). En troisième Salma et Clément (ils montraient l’image d’un couple uni et harmonieux, c’était un exemple de stabilité pour eux tous) et enfin fermaient la marche Fabien et Agnès (qui avait aussi fait un travail formidable avec le repas de mariage).

Les robes dessinées par Stella ...