1. COLLECTION COCU. Jamais deux fois sans trois (1/1)


    Datte: 14/04/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... divorcé sans perdre trop de plumes.
    
    Comme l’on dit, on a divorcé à l’amiable.
    
    Quelque temps sont passés, j’ai dessiné puis construit ma maison assez futuriste sans m’inquiéter que les rares femmes que je rencontrais semblaient insensibles à ma personne.
    
    Ma timidité bien sûr.
    
    Dans cette maison, j’avais un bureau qui me permettait de travailler en voyant les arbres, ce qui était très agréable.
    
    J’avais décidé de vivre en ermite, me rendant simplement chez mes clients ou a mon bureau parisien où je côtoyais du monde.
    
    Pour entretenir ma maison, j’avais une bonne très portugaise, malgré qu’elle soit bretonne.
    
    Portugaise, car elle travaillait ayant toujours très chaud et me montrait les touffes qu’elle avait sous les bras.
    
    Non, aucune méprise, certes, une femme moche aurait pu régler mon problème avec les femmes, mais une femme le double de mon âge, très peu pour moi.
    
    De toute façon, fidèle à mes principes, elle était mariée et les femmes mariées nous savons bien que j’évite.
    
    Un jour où j’étais à Paris, un couple la cinquantaine est venu avec leur fille, un vrai laideron, elle s’est perdue dans mes yeux bleus et le soir elle acceptait de venir dîner au restaurant.
    
    Elle a respecté les codes et deux jours plus tard , nous sommes passés à ma chambre.
    
    Dans cette pièce pour seule lumière le jour ou la nuit un plafond de verre nous a permis de compter les myriades d’étoiles après avoir fait l’amour.
    
    Comme l’on dit, je vivais heureux surtout lorsque ...
    ... Astride m’a donné un fils Jules, après notre mariage bien sûr.
    
    Je pensais avoir trouvé la clef du bonheur même si lorsque nous sortions chez des amis, je voyais bien la façon dont les autres femmes me regardaient avec de la réprobation dans leur regard.
    
    Un si beau garçon avec une femme si moche.
    
    Jules grandissait dans notre maison élevée par sa nourrice anglaise et tout était pour le mieux ça soulageait ma femme décoratrice qui m’aidait dans mon travail.
    
    Nous nous complétions à merveille, je dessinais et je construisais et elle décorait avec son bon goût.
    
    J’avais des chantiers de logements et de bureaux à travers toute la France.
    
    Souvent elle me relayait une fois la maison où les bureaux construits elle les décoraient.
    
    J’étais sur un chantier à Bourges quand je me suis souvenu qu’elle était à Nevers, moins d’une heure de route avec ma voiture puissante.
    
    Au lieu de retourner à Paris, j’ai décidé de venir voir son travail.
    
    Je suis arrivé devant l’immeuble que j’avais construit une voiture d’un peintre se trouvait garé devant.
    
    J’ai reconnu le nom de la petite entreprise qui avait gagné l’appel d’offres et à ses côtés la voiture de ma femme.
    
    Je suis rentré, personne au premier et deuxième.
    
    C’est au troisième que du bruit m’a intrigué.
    
    Des halètements, des ouis encore et des cris d’homme prenant son plaisir.
    
    J’ai approché prudemment et lorsque j’ai vu, j’ai vu.
    
    Astride aux mains avec deux hommes un vieux et un jeune Comme des bêtes au ...