Une journée au bord de la rivière 2 - Histoires de Sexe

Une journée au bord de la rivière 2

... caleçon. Même si je le compare au mien, la taille me semble impressionnante. Et contre toutes attentes, n'étant pas attiré par les hommes, je me dis que cela doit être super excitant d'avoir et de sentir cette bite raide glisser entre les fesses ou sur la langue.

- Alors ! insiste-t-il, tu les connais ?

Je réponds oui à Jean en faisant à mon tour un signe à Stella et Lola.

- Et bien présente-moi, ajoute-t-il.

J'avance, ou plutôt je suis poussé par Jean qui se colle à mon épaule comme un enfant timide qui se cache derrière la jupe de sa mère.

- Bonsoir Stella, Bonsoir Lola, dis-je lorsque je m'arrête près des deux femmes.

- Bonsoir, répondent-elle en même temps. On pensait ne plus te revoir, dit Stella qui se redresse et s'appuie sur ses coudes.

- Tu n'es pas venu seul ! dit Lola.

- Non, je vous présente Jean, répondis-je en tournant la tête vers mon ami qui me contourne, se penche pour tendre le bras et leur dire bonjour d'une poignée de main.

Je remarque aussitôt le regard envieux de Lola qui se pose sur le caleçon de Jean qui, de son côté, reluque sans retenue les deux paires de seins à portée de mains.

- Bonsoir mesdemoiselles, dit-il.

Je me retourne quand j'entends des voix derrière moi. Trois personnes marchent en direction du sentier vers les voitures.

- Comment vas-tu ? me demande Stella lorsque je pose à nouveau les yeux sur elle.

- Bien merci et toi ?

La discussion se poursuit avec des banalités, des questions sans ...

... importance pour combler les petits moments de silence parfois gênants.

- Qui veut me passer de la crème ? demande Lola qui attrape un tube et le brandit comme une torche dans notre direction.

Jean me regarde puis se porte volontaire.

- Cool, et n'hésite pas à mettre la dose, ajoute Lola qui se tourne et s'allonge sur le ventre.

Jean s'empare du tube de crème, fait sauter le bouchon et appuie. La crème jaillit et s'écrase sur les épaules larges de la jeune femme. Jean pose timidement le bout de ses doigts et fait des cercles pour étaler la crème.

Je m'assois près de Stella et nous continuons la conversation. Mon regard se porte sur ses énormes seins aux larges aréoles et tétons pointus comme des torpilles.

- Quoi de nouveau depuis la dernière fois ? me demande-t-elle.

- Pas grand-chose, dis-je, le train-train quotidien.

- N'aie pas peur, dit soudain Lola, je ne suis pas en sucre alors vas-y, ajoute-t-elle en relevant et tournant la tête vers Jean.

Sur ces mots, mon ami se redresse et s'assoit sans gêne sur l'arrière des cuisses de Lola. Il attrape le tube et déverse une grande quantité de crème sur la peau déjà rougie par des heures d'exposition au soleil. Lola glousse, rit sous les caresses appuyées de Jean.

Je vois les doigts empoigner la chair molle, presser les bourrelets sur les hanches et le dos comme de la pâte à pizza. Il se dresse ensuite sur les genoux, tend les bras et pose les mains sur la nuque qu'il masse doucement.

Lola gémit. Parfois un ...