Les services d’un Majordome - Histoires de Sexe

Les services d’un Majordome

... demande !

Grégoire obtempère alors et lui défait lentement le second bouton. Ainsi, le moindre mouvement de ses bras offre une vue imprenable sur cette poitrine ferme. Ses tétons reflètent déjà son excitation et dardent à travers le tissu.

— Bien, et si nous faisions une pause après cette nouvelle défaite des hommes ? dis-je avec bonne humeur. Grégoire, pouvez-vous nous sortir une bouteille de ce vin blanc moelleux que nous aimons tant ? Vous mettrez trois verres, bien entendu, et quelques olives et autres…

Grégoire s’est effacé, soulagé de pouvoir reprendre ses esprits. Laurence se rapproche de moi et l’œil pétillant défait le bouton du bas de sa robe.

— Tu as raison, Laurence, je peux voir dans les yeux de ce gamin le désir et bien plus encore. Et je ne te cache pas que la situation m’excite terriblement.

Grégoire revient, les bras chargés. Il dépose le tout sur la table basse de la terrasse alors que nous nous installons… Laurence, dans le canapé, Grégoire et moi, dans des fauteuils, face à elle.

Le service fait, Grégoire s’installe pour trinquer. C’est alors qu’il remarque la tenue de ma chère et tendre épouse. Les jambes croisées, sa robe ne couvre plus que le haut de ses cuisses. Quant à son décolleté, il lui suffit de vouloir attraper une olive pour voir l’ensemble de sa poitrine.

Nous discutons comme si de rien n’était. Laurence se joue de notre employé et le chauffe de plus en plus. Elle se lève pour lui servir un nouveau verre et se penche ...

... fortement en prenant son temps. Ses seins sont totalement visibles, à peine cachés par la robe plus qu’entrouverte. La réaction de Grégoire est immédiate, son short se déforme à la vue de ses deux globes.

Lorsqu’elle se rassied, Laurence pose négligemment un pied sur la table basse, s’assurant que son entrejambe soit pleinement accessible aux regards.

— Grégoire, pouvez-vous retirer le quatrième bouton de la robe de Laurence, s’il vous plaît ?

Il se lève et d’un geste toujours aussi fébrile défait le bouton, laissant la robe fermée par un unique bouton au niveau du nombril.

— Pouvez-vous maintenant écarter les pans de sa robe pour que j’admire ses si beaux seins ?

Il s’exécute alors que Laurence le fixe ardemment. Ses mains frôlent sa peau qui réagit à leur contact. Il reste figé, debout devant elle, son short ostensiblement tendu. Laurence s’est adossée, son sexe exposé à la vue des deux hommes. Seul le contour des lèvres est épilé et sa fine toison sonne comme une nouveauté pour Grégoire.

Je sens ce fourmillement dans mon ventre, ce plaisir de la voir nue et offerte devant un autre. Cependant, je décide de casser l’énergie sexuelle de l’instant en annonçant :

— Reprenons notre partie de fléchettes. Laurence, je t’invite à rester comme cela, quant à toi, Grégoire, nous aurons peut-être une chance si nous arrivons à distraire mon épouse. Retire ton short, nous verrons si cela suffit.

Il obéit à ma demande sans sourciller. Il a maintenant compris quel jeu ...