L'omelette aux cèpes
Datte: 11/04/2025,
Catégories:
f,
ff,
ffh,
couleurs,
forêt,
campagne,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
odeurs,
Masturbation
caresses,
intermast,
Oral
69,
nopéné,
jeu,
init,
aventure,
sf,
prememois,
Auteur: Juliette G, Source: Revebebe
... plongée dans ses pensées troublées, elle s’était lentement calmée. Elle connaissait très bien André et le savait gentil et agréable avec tout le monde. Quant à Adeline, elle était son amie de toujours et elle avait une totale confiance en elle.
La lanceuse de couteaux, si elle était entièrement nue, ne paraissait pas gênée de s’exhiber ainsi. La jolie métisse avait même fini par trouver naturelle la scène étrange qui se déroulait sous ses yeux depuis un bon moment. André, toujours en érection, se caressait de temps à autre en observant ses compagnes, portant évidemment plus souvent son regard sur la nudité de la jolie brunette.
Après un long moment à observer les autres, la bergère avait fouillé dans son sac et avait sorti des beignets et de la compote de pommes sauvages. Viviane était maintenant en nage et son visage dégoulinait d’une désagréable sueur. Sans se lever et avec un naturel qui l’étonna, elle se débarrassa de ses bottines de peaux, et sans plus d’hésitation, releva son seul vêtement sur son corps et fit passer sa tunique par-dessus sa tête. Une fois nue, elle désigna les pâtisseries et le pot de compote de la main en affichant une petite moue timide. Plutôt petite, mince comme une liane, la métisse était charmante et André ne cessa plus de l’observer. Gênée, Viviane baissa les yeux sur la couverture qu’elle avait installée sur le sol de terre battue à leur arrivée à la cabane.
— On pourrait casser la croûte, non…
— Oh ! T’as tout ce qui faut ...
... ! C’est vrai qu’on pourrait manger un bout…
André avait avalé son beignet et se masturbait doucement en regardant ses voisines grignoter les leurs. Viviane, si elle restait curieuse du sexe dressé sous ses yeux, se sentit brutalement chahutée après un regard timide sur le ventre de son amie. Adeline mouillait et sa fente était tapissée de cyprine. Quand la jolie brune l’imita et porta son attention sur elle, la bergère eut l’impression que les poils qui bordaient sa fente s’humidifiaient d’un coup. La vue de la petite chatte ouverte et mousseuse de la lanceuse de couteaux fit se durcir les petits bourgeons bruns de ses seins et Viviane crut que sa gorge se serrait et qu’elle ne pourrait pas avaler sa bouchée.
— Te gênes pas. J’aime bien qu’tu m’regardes. Et toi… t’es vraiment très jolie, ma Vivi… et… t’as une sacrée broussaille entre les cuisses.
— Pourquoi tu dis ça ?
— Ben… r’garde la mienne ! On est brunes toutes les deux, mais moi j’ai un p’tit buisson noir et toi… c’est carrément une forêt ! Tout épaisse et toute frisée !
— C’est pas beau, c’est ça ?
Les petits seins en pomme de la chasseresse dansèrent dans son mouvement quand elle bougea et Viviane eut un léger sursaut quand les doigts de son amie se posèrent sur son pubis.
— Tu blagues ou quoi ? C’est très joli, oui !
Adeline fouilla délicatement les poils durs et frisés et son regard noisette affronta les yeux gris de la bergère.
— C’est doux et dur en même temps. C’est très excitant au ...