Un collis pour madame...
Datte: 27/07/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Alainylon, Source: Hds
Allongé sur le lit, je jetais un regard au réveil posé sur la table de nuit. Dix heures, déjà ! D’ici trois heures je devais aller rejoindre ma femme à son travail pour aller faire quelques courses. Je me sentais lasse et me serais bien volontiers passé de cette excursion. Mais ma femme paraissait y tenir tout particulièrement et sans que je chasse pourquoi. Je dus prendre sur moi-même pour me décider à bouger. Une fois debout, je m’étirai et allais faire un tour sur la terrasse. Le regard perdu sur le terrain je me demandai ce qui pouvait se cacher derrière cette invitation ? Sans doute du cul. Je pivotais sur moi-même et coupant court à mes réflexions érotiques, je me dirigeais d’un pas décidé vers la salle de bains où je pris une douche. Une fois que j’eus enfilé un pantalon, et une chemise, je m’empressais de prendre une pilule de Cialis, dès fois que ma pensée soit juste. Un besoin chez moi pour garder une bonne érection pendant des heures pour satisfaire sexuellement mes partenaires. Après avoir pris un verre d’eau pour faire passer la pilule de 20mg, je me suis fait couler un café. Tasse en main, je m’installais dans le salon devant un bouquin, confortablement assis au fond de mon fauteuil.
Une heure s’était écoulée qu’en on sonna à la porte d‘entrée. Qui pouvait bien venir m’ennuyer ? Me disais-je pour moi-même. Je posais le bouquin sur la table basse et me levais à contre cœur pour aller ouvrir à l’intrus. Qui se trouvait être une intruse. La factrice.
- Un ...
... colis pour votre dame. Me fit-elle d’une voix radieuse.
Elle avait un caractère d’une gaieté communicative et je devinais voir dans son regard noisette des lueurs malicieuses qui me faisaient rêver à des polissonneries inavouables. Plus petite de taille que moi, mes yeux ne perdaient rien de ce qu’ils pouvaient apercevoir par l’échancrure de son tee-shirt. Regrettant amèrement que le tissu ne soit pas plus lâche au niveau de sa poitrine pour en voir plus, qu’une petite partie de seins lourds, d’un blanc laiteux, qui tremblotaient à chacun de ses mouvements, autour du sillon qui les séparait.
Son cul aussi me fascinait. Large mais sans trop rond et haut placé, il paraissait détenir une majesté voluptueuse et charnelle bonne à faire bander un homme impuissant.
Alors que je signais le registre, je lui proposais un café.
- Ce serait avec plaisir ! Me répondit-elle.
Alors que je le faisais couler, je lui demandais des nouvelles sur ses travaux. Comme ça, pour parler. Et là elle m’apprenait qu’elle était en instance de divorce. Je m’en étais vachement voulu sur le moment. Je n’avais pas manqué de m’excuser. Qu’elle avait d’ailleurs accepté.
- Il serait possible que j’emprunte vos toilettes ?
- Mais bien sûr ! Je vais vous y conduire.
Une fois à l’intérieur, au lieu de se verrouiller, la factrice laissa la porte entrebâillée. Comme si elle avait peur de rester bloquer dedans. Mais au lieu de retourner à la cuisine, je ne sais quoi ou qui me conjura d’attendre un ...