Année de terminale - Histoires de Sexe

Année de terminale

... je caresse son dos, elle aussi, mon torse, mes épaules. On reste debout 5 bonnes minutes à s'embrasser langoureusement. Je sens son ventre contre mon ventre, des seins contre mon torse. Je place ma main à la limite basse de ses reins, n'osant toucher ses fesses ouvertement. C'est tellement bon, je commence rapidement à avoir une érection. Ayant un jean, je ne sais pas si elle peut le sentir. En tout cas elle continue à m'embrasser, et à me sourire à chaque pause.

On finit par se poser pour prendre un verre, elle s'assoit sur mes genoux. J'ose timidement poser une main sur son genou. Je n'ai qu'une idée, remonter ma main vers la cuisse, mais je n'ose pas. On finit la soirée par un chaste bisou. On s'écrit quelques sms pendant les vacances, étant chacun partis de notre côté.

On se retrouve à la reprise des cours. Le courant passe bien et on pérennise rapidement notre relation, on sort ensemble. On se retrouve à l'intercours et après les cours, on s'embrasse longuement, on s'écrit des sms. On échange aussi beaucoup, les jours ou cela va moins bien mais la plupart des jours, c'est plutôt sensuel. On reste collés à s'embrasser de plus en plus sensuellement. Je n'ai plus de gêne a bien m'appuyer contre elle, elle sent probablement mon érection mais n'y fait jamais allusion à part un sourire. A la piscine c'est plus délicat, c'est elle qui vient se coller à moi pour m'embrasser et me caresser le torse. Craignant une érection visible dans ...

... mon maillot je m'écarte assez rapidement sans essayer d'être brusque. Je ne sais pas si elle a compris pourquoi. Le dimanche suivant on se donne rendez-vous dehors. On s'embrasse, mais il fait assez froid. On se retrouve dans un café, elle défait son manteau long. Elle dévoile alors une jupe courte, bordeaux et bien ajustée. Très élégante lui dis-je. Merci. Elle va se laver les mains, je la suis du regard, ou plus exactement les mouvements chaloupés de ses hanches bien serrées dans sa jupe. Elle se retourne et me jette un regard complice. Une fois assise on discute, nos mains se tiennent et sous la table on commence à se faire du pied. Elle remonte même un peu pour caresser mes jambes avec son pied. Je suis aux anges. En sortant du café je l'embrasse langoureusement, bien qu'emitouflés ce qui rend l'étreinte plus chaste. Il fait froid, si tu veux on peut rapidement passez chez moi dit-elle par contre ma famille est là et je n'ai pas dit que j'avais un copain donc je te présenterai comme un ami qui passe. Tu es sûr que tu t'habillerai comme cela pour un ami dis-je, faisant allusion à sa jupe. Je pense que ma mère se doute mais bon on officialisera une autre fois. On arrive chez elle, sa mère est dans la salon, Sophie me présente comme un ami à sa mère puis à sa soeur également présente. Son père est absent m'a-t-elle dit, ce qui m'arrange car j'aurais été intimidé de croiser le père d'une fille pour laquelle j'ai tant de désirs inavouables.