La Pimbêche -- 02
Datte: 10/04/2025,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byVictorlepieux, Source: Literotica
... groupe de copine et se faire une réputation au lycée.
-- Arrête ça !
-- C'est impossible. Ou alors il me faudrait une autre salope... C'est plus dur à trouver qu'il n'y paraît...
-- Mais... Je peux chercher une pute dehors, ou une autre de vos amies peut se dévouer, non ?
-- Genre vous sous-entendez que mes amies c'est des putes, super... Je retiens... Cela dit je vois bien quelqu'un qui pourrait la remplacer facilement.
-- Qui ?!!
-- Vous, Madame Houiller, vous n'êtes plus de toute première fraîcheur. Mais je suis sûr que les mecs seraient ravis de farcir la chatte de la proviseur adjointe du lycée.
-- Quoi ! C'est impossible !
-- Je disais ça comme ça. Mais si vous préférez que la jeune fille dans cette chambre serve de paillasse à foutre, je le comprends parfaitement. Et pour être honnête, elle le mérite...
-- Non, attendez ! si j'accepte, ma fille...
-- Elle ne sera plus du tout baisée. On ne touchera plus à un seul de ces cheveux... Enfin, façon de parler... n'espérez pas la récupérer vierge non plus...
-- Alors oui.
-- Oui, quoi ?
-- Oui, je veux bien prendre la place de ma fille.
-- Félicitation, ce dévouement vous honore... même si entre nous... c'est surtout que ça vous branche de vous faire farcir par de grosses bites de dix-huit ans.
-- Je suis mariée !
-- C'est bien ce que je dis... Vous devez en avoir marre du train-train. Alors un bon petit gang-bang par mes amis, ça va vous rajeunir.
-- Relâchez ma fille ...
... immédiatement !
-- Du calme, elle pas du tout prisonnière. Vous par contre...
-- Moi ?
-- Oui, sans vouloir vous manquer de respect, Madame Houiller, rien ne dit que vous respecterez votre parole. Alors si vous le voulez bien, je vais vous menotter. »
Caroline présenta ses poignets alors que Béatrice avait du mal à cacher sa joie. Elle ligota les poignets de Caroline, puis ouvrit la porte. Elle tira la femme dans la chambre, alors que Caroline voyait sa fille se faire besogner. Béatrice avec l'aide de deux garçons allongèrent la proviseur adjointe sur le divan. La diabolique lycéenne avait déjà prévu des cadenas et des cordes pour entraver la mère de famille ; en moins de cinq minutes Madame Houiller ne pouvait plus bouger. Son corps était allongé le long du divan, ses chevilles bien écartées et garrottées aux pieds du divan, ses mains menottées furent attachées derrière le dossier.
Caroline ne prêtait que peu d'attention aux liens qui la ligotaient, s'occupant de crier à sa fille des exhortations telles que :
« Ça va aller Aline ! C'est bientôt fini ! »
« Ne t'en fais pas pour moi ! Et rentre à la maison tout de suite ! »
« Arrête immédiatement, t'as plus besoin de faire ça ! »
Lorsqu'elle fut bien attachée, Béatrice se présenta devant sa senior en allumant l'enregistrement de son smartphone :
« Madame Houiller, j'aurais une dernière demande à vous faire. J'ai peur que les garçons risquent de ne pas vouloir croire que vous les attendez pour vous faire ...