Une leçon particulière
Datte: 09/04/2025,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
jardin,
revede,
caresses,
Oral
pénétratio,
occasion,
diffage,
Auteur: Beauté BB, Source: Revebebe
... tout mon corps. Je lutte pour ne pas m’embraser instantanément. Les lèvres de Thibault et sa langue sont brûlantes. Ses doigts me pénètrent de plus en fort. C’est délicieux, fort, trop fort, je suis au bord de l’orgasme.
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J’ai la jouissance de Virginie au bout de ma langue et de mes doigts mutins. La « superbe » est dans un état second. Je m’applique à la faire gémir. Ses mains appuient sur ma tête blottie entre ses cuisses, accentuant ainsi la puissance de mes caresses.
Virginie m’encourage à lécher son clitoris, à l’aspirer et le sucer. Elle demande à mes doigts de la pénétrer plus vite et plus loin. Son bassin ondule de plus en plus violemment. Son visage rayonne d’un plaisir imminent. Elle ondule et gémit de plus en plus fort. Puis elle crie sans retenue et pousse un long râle de jouissance qui s’achève par une inspiration profonde. Je suis épuisé, mais c’est le plus beau jour de ma vie.
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Aucun homme ne m’avait procuré une telle jouissance. Thibault, ce jeune homme tout en douceur et élégance est parvenu à m’apprivoiser et à faire tomber toutes mes résistances. Je n’étais prête qu’à lui offrir quelques baisers, mais à force de tendresse et de sensualité il est parvenu à rallumer la flamme que mon mari avait laissé s’éteindre. Je grelotte de plaisir. Je n’avais jamais vécu un tel orgasme.
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Je reste la tête enfouie entre les cuisses de Virginie. ...
... Ma langue est immobile, mais toujours lovée entre les lèvres de sa vulve. Doucement, je retire mes deux doigts de sa chatte. Je sens lorsqu’ils passent à proximité de mon nez le parfum merveilleux de l’antre de ma maîtresse.
Virginie respire encore très fortement, mais ne bouge pas. Je reste la tête entre ses cuisses et savoure ce moment. Au bout de quelques minutes, elle me propose de venir m’allonger à côté d’elle. En me relevant, j’attrape sur un canapé un plaid pour la recouvrir afin qu’elle n’ait pas froid. Je la rejoins et m’allonge à côté d’elle, sous le plaid, sur cette large table en bois.
— Excuse-moi, me dit-elle, j’ai encore besoin de quelques minutes pour revenir à moi.
Puis elle ajoute :
— Personne ne m’a procuré une jouissance telle que celle que tu viens de m’offrir.
Je suis sur un nuage. Il y a une demi-heure, je craignais qu’en essayant de l’embrasser, elle me renvoie à mes chères études. Et je viens de vivre avec elle, ce que même dans mes rêves les plus fous je n’aurais jamais osé imaginer.
Tout est allé si vite que je me rends compte que je n’ai pas eu le temps de me déshabiller. J’ai gardé mon pull, mon jean et mes chaussures. Nous sommes allongés côte à côte sur cette grande table en bois. Je pose ma tête sur son épaule. Virginie se tourne vers moi et dépose un baiser sur mes lèvres. Elle glisse ses doigts sous mon pull, je les sens qui caressent mon ventre, puis ils remontent jusqu’à ma poitrine. Ses frôlements sont ...