Le Manoir des Sacrifices
Datte: 07/04/2025,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bydicordoba, Source: Literotica
... trouver une robe pouvait paraître facile, autant ce fut un cauchemar pour moi. Je n'arrivais pas à trouver la pièce que je voulais. A chaque fois que je me regardais dans le miroir, le reflet que je voyais était celui d'une jolie fille que je ne reconnaissais pas.
Finalement, ce fut un vendeur qui vint à mon secours et j'opta pour une petite robe d'été m'allant jusqu'au genoux avec un léger décolleté devant.
Vu les compliments qu'il n'arrêta pas de me faire j'en conclus que je devais être à son goût et c'était un peu nouveau pour moi.
Je complétais ma tenue avec une jolie paire d'escarpins et toute heureuse je rentrais chez moi avec un poids en moins sur l'estomac. Ce soir je n'aurais pas honte de me pointer à leur petite fête.
Il n'était pas tout à fait 18h00 lorsque j'arrivais au manoir de Fernal. J'eus une petite appréhension en me rendant compte que la grande cour de gravier était remplie de véhicules. Il y en avait bien une quarantaine si ce n'est plus. Je m'attendais a ce qu'il y ait du monde mais pas autant.
Monsieur Fernal devait guetter ma venue car à peine ma twingo stoppée que la porte s'ouvrait sur lui. Contrairement à la dernière fois que je l'avais vu, là il avait le visage illuminé, un peu comme si je venais de lui sauver la soirée.
D'un autre coté, c'est un peu ce que je venais de faire car sans moi sa petite reconstitution tombait à l'eau.
C'est avec une certaine fierté que je sortais de ma voiture, attendant le maître des lieux sans ...
... bouger.
- Bonjour Manon, je suis très content de vous voir. J'avais peur que vous n'ayez un empêchement
- Bonjour monsieur Fernal, pour rien au monde je n'aurais ratée cette soirée.
Il me regarda attentivement, ce qui me gêna un peu puis me dit
- Je n'avais pas remarqué la dernière fois que vous étiez si belle
- Merci, je n'ai pas l'habitude des robes
- Vous devriez en portez plus souvent, vous avez un très joli corps
Sans pouvoir me contrôler, je me mis à rougir ne sachant plus trop quoi dire. Voyant ma gène, l'homme me dit :
- En attendant suivez moi, vous prendriez bien une petite collation.
- Heuuu oui, avec plaisir
Il reprit la direction de la demeure et trop heureuse, je le suivis sans un mot.
Lorsque nous franchîmes la grosse porte d'entrée, je fus impressionnée par la beauté des lieux.
On rentrait directement dans une pièce gigantesque, avec un plafond à plus de 4 mètres d'où pendaient des lustres à pampilles.
Le sol, tout en marbre donnait encore plus de magie à la grande pièce.
Trois grandes tables avaient été dressées sur lesquelles se trouvaient des bouteilles de champagnes et des plateaux de petits fours.
Des domestiques en grande tenue faisaient le service mais ce qui me perturba le plus, c'était le nombre d'invités regroupés autour de chaque table.
Lorsque avec monsieur Fernal nous pénétrâmes dans la salle, tous les gens, dés qu'ils nous virent, se turent.
Jamais je n'avais vu ça et un malaise me saisit lorsque ...