1. Le Manoir des Sacrifices


    Datte: 07/04/2025, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bydicordoba, Source: Literotica

    ... durant toutes ces années. J'étais belle et désirable et je n'avais pas à le dissimuler.
    
    Le repas en tête a tête avec monsieur Fernal fut très sympathique et je vis durant tout le temps que nous restâmes à table que mon corps dénudé n'était pas pour déplaire aux personnels venant nous servir les plats.
    
    Après manger, nous redescendîmes au sous sol qui était cette fois complètement déserté. Cela me fit bizarre de retrouver les lieux et j'eus presque un sentiment d'inachevé.
    
    Lorsque nous pénétrâmes dans la dernière salle, mon sang se figea. Au centre de la pièce se trouvait l'autel de sacrifice. Il était en pierre et l'on pouvait voir des saignées prévues pour évacuer le sang.
    
    - Si je ne m'étais pas évanouie, vous m'auriez allongé sur la pierre
    
    L'homme rigola
    
    - à votre avis?
    
    - je ne sais pas.
    
    Et tout en disant ça, comme par provocation, je grimpais sur l'autel et m'allongeais à l'emplacement prévu pour les corps des suppliciés.
    
    Mon corps nu ainsi offert dut chambouler un peu l'homme qui s'approcha de l'autel pour se mettre à me caresser une fois à coté.
    
    - Vous auriez fait une très belle sacrifiée mais cela aurait été dommage d'ôter la vie à un aussi joli corps.
    
    - Et qui sait? peut être que même sans drogue je serais restée immobile sur cette pierre.
    
    L'homme regarda mon corps puis rajouta
    
    - Il est temps de retirer votre pansement. La marque doit être cicatrisée.
    
    Avec précaution, il tira sur un bord de la compresse et mis a jour la marque. ...
    ... Je m'assis sur l'autel pour enfin découvrir l'inscription et je ne compris pas du tout a quoi correspondait la marque. Deux petites flammes encadraient trois lettres, PDD.
    
    - Mais quel rapport ces trois lettres avec Arkos?
    
    - Ce sont trois lettres qui le désignent dans une langue disparue
    
    Je fus un peu déçue moi qui pensais que la marque serait plus explicite.
    
    L'homme, qui vit ma déception, dit alors
    
    - il est peut être tant de remettre votre jolie robe et de nous dire au revoir. Vos parents risquent de vraiment s'inquiéter si vous restez vingt quatre heures de plus absente.
    
    Me rendant compte qu'il avait raison, nous quittâmes le sous-sol
    
    Une heure après je me retrouvais dans ma petite voiture, direction la maison. En y réfléchissant, même si j'avais souffert,j'avais passé une soirée exceptionnelle. Je n'étais plus vierge et j'avais perdue mes complexes vis-à-vis de mon corps.
    
    La vie s'annonçait de plus en plus belle pour moi.
    
    Epilogue
    
    Il y avait comme une odeur de souffre dans le bureau. Le maître du manoir avait peur mais ne voulait pas le montrer. Ce n'était pas une peur que l'on connaît lorsqu'un danger se dresse devant nous, non, c'était la peur de pouvoir déplaire.
    
    L'homme en noir, installé dans le fauteuil du salon, écoutait Fernal faire son rapport, même si il connaissait déjà tous les détails de la soirée. Il eut un sourire lorsque Fernal lui dit
    
    - Elle est venue comme vous nous l'avez prédit, maître, et comme vous nous l'avez annoncé ...