Elle se découvre à San Francisco
Datte: 06/04/2025,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: bycielbleu, Source: Literotica
... le léger chemisier de tissu extensible s'est naturellement rétréci, le bas de son dos est également dénudé.
C'est à mon tour, j'en rentre deux. Il ne me reste que la noire. Elle est difficile à manquer, près d'un panier latéral, la voie dégagée. Je m'aligne pour viser, puis je tourne mon regard vers Anne, fixe mes yeux dans les siens. Cinq secondes de délai, et je tire sans même regarder. J'entends le choc de la blanche sur la noire, et j'entends la noire tomber. Anne a un sursaut, et porte ses mains à sa bouche pour étouffer un "Haaanh!" d'excitation honteuse.
"J'ai gagné. Enlève ton soutien-gorge."
Elle n'ose pas bouger, elle tremble fort. Je me rapproche d'elle. Je défais son dernier bouton, puis en me collant contre son torse, offrant un semblant d'intimité, je lui retire son chemisier. Elle a caché son visage sur mon épaule alors que je dégrafe son soutien-gorge, puis fait glisser les bretelles en caressant ses épaules.
Je prends le soutien-gorge dans une main, toujours collé contre elle, puis lui repasse son chemisier, un bras à la fois. Dès qu'elle le peut, elle me prend par la taille pour se coller à mon torse. Je lui dépose un petit baiser dans la nuque.
Je ramène mes mains sur ses seins, et je rattache son troisième bouton tout en les caressant.
"Le dernier bouton a résisté au combat. Bravo."
Ses seins lourds et bien ronds sont parfaitement dessinés à travers le fin tissu tendu. Ses mamelons sont tellement durs qu'on dirait qu'ils vont percer ...
... le tissu.
Elle relève la tête vers moi, des larmes dans les yeux. Je penche mon visage vers elle, je lèche une de ses larmes sur sa joue et l'embrasse. Elle colle sa bouche contre la mienne très fort, sa langue pénètre mes lèvres et vient trouver la mienne. Son corps est agité de spasmes alors qu'elle me serre très fort par la taille. Je prends la taille de sa jupe dans mes mains et la remets en place délicatement. Le jeu est fini. Je suis fier d'elle.
J'aide Anne à enfiler son blouson, qu'elle zippe. Le public comprend que le spectacle est fini. Des applaudissements, des sifflements plus du tout discrets. Je prends Anne par la main pour l'emmener vers la sortie. Le barman me dit au passage : "It's good you stopped there, but I'm glad it went as far as it did. Come back anytime. (5)"
Dehors dans la rue, un Uber vient de débarquer des clients, je lui fait signe, il nous indique de monter. Je lui demande de nous emmener au Marriott Marquis.
Pendant le trajet, Anne ne parle pas mais se colle contre moi, le visage dans mon cou. Les émotions l'ont terrassée. Je la serre fort, un bras autour de ses épaules, sa main est chaude dans la mienne.
En traversant le hall du Marriott vers les ascenseurs, la tenue d'Anne a repris son look sexy mais raisonnablement décent. Le blouson zippé garde les seins à l'abri, on ne peut pas s'apercevoir que sa culotte et son soutien-gorge sont dans ma poche.
Dans l'ascenseur, nous sommes seuls. Elle se colle à nouveau contre moi, me ...