Catherine découvre un plaisir nouveau - Histoires de Sexe

Catherine découvre un plaisir nouveau

... dire. Oublie pas que je suis déléguée syndicale. Tu vaux mieux que lui, même si je te connais pas beaucoup. Lui, c’est un pourri de la tête, il en veut à ton cul et c’est tout. Même sa femme, elle s’est barrée, avec le maçon de leur baraque. Il les a surpris en pleine baise dans la cabane de jardin et il a toujours pas digéré de voir sa bourgeoise le cul à l’air, beuglant des encore ! encore… ! Bien fait pour sa gueule, et ça fera toujours une malheureuse de moins.
— Tu exagères Cathy, il n’est pas comme ça. S’il souffre déjà du départ de sa femme, pourquoi vouloir encore le torturer ?
— Oh, le pauvre biquet, il souffre, tu dis, mais comme c’est touchant… La méchante Cathy a fait bobo au petit Denis, alors sa nounou vient demander qu’on le laisse tranquille ? C’est pour ça que tu es là, ma poulette ?

Cathy s’était rapprochée de moi, qui m’étais assise, et me toisait de son regard intense. Elle glissa un doigt sous mon menton pour me faire lever et adopta un ton de garce patentée qui eut pour effet de tuer chez moi toute tentative de répartie :

— Alors, madame la justicière, on veut voler au secours du coq de la basse-cour ? Pas touche, il est à toi ? Mais moi, Catherine, moi j’ai vu tes yeux quand je le baisais ton Denis, j’ai senti sur mes doigts ruisseler ta mouille quand je t’ai doigtée, et tu avais les nibards tendus à mort quand tu m’as remis ma jupe, en me pelotant les fesses au passage. J’ai même hésité à te goder devant lui, je suis sûre que tu aurais adoré ...

... ça, tu avais le feu au cul. Je sais pourquoi tu es venue, et je vais te le donner parce que tu me plais bien, ma timide.

Elle me repoussa contre le mur, conquérante, fière, et saisissant mes deux mains, elle les releva au-dessus de ma tête pour me crucifier avant de se coller à moi, ses seins touchant les miens et de glisser une jambe entre les miennes.

— T’es une frustrée toi, une mal-baisée, c’est dommage parce que tu serais assez à mon goût, alors je vais t’ouvrir les chakra, moi, ma jolie, je vais te déniaiser..

Elle m’embrassa alors à pleine bouche, mordant mes lèvres, suçant ma langue, puis laissant la sienne parcourir mes lèvres en les humectant de sa salive avant de descendre le long de mon cou, je m’abandonnai… incapable de résister.

Elle lâcha mes mains et posa les siennes sur mes seins qu’elle pétrit violemment, avant d’ouvrir mon chemisier sans aucune précaution, arrachant au passage deux boutons. Cathy semblait déchaînée, elle sortit mes seins de leurs bonnets protecteurs et les lécha furieusement, puis en mordit les pointes avant d’enrouler sensuellement sa langue autour de chacune d’elles. Je haletais comme une chienne en chaleur, cette femme était le diable incarné, la tentation en personne, elle réveillait en moi des désirs et des fantasmes profonds et je cédai totalement.

S’écartant de moi légèrement, abandonnant mes seins aux pointes érigées et douloureuses, elle planta son regard dans le mien et glissa une main sous ma jupe, remontant jusqu’à ...