1. Délurée tardivement


    Datte: 31/03/2025, Catégories: fh, fplusag, telnet, Oral pénétratio, fouetfesse, occasion, internet, Auteur: Foretdorient, Source: Revebebe

    ... que je pouvais acheter ce dont il y a besoin et qu’elle me rembourserait.
    
    Il est dix heures passées lorsque je tape à sa porte avec tout mon barda. Comme la veille, une fois, deux fois, trois fois, mais nulle âme qui vive. Putain, merde, qu’est-ce qu’elle fait ? Ce contretemps a le pouvoir de m’exaspérer, j’aurais dû lui demander une clef.
    
    Une demi-heure plus tard, à force d’insistance, la porte s’ouvre enfin. Mon hôtesse a une sale tête, elle est livide. Complètement dans le potage, apparemment elle n’a pas beaucoup dormi. Elle me regarde passer avec mon matériel, un peu effarée.
    
    — Ça te dérange si je retourne me coucher ?
    
    Elle est vraiment gonflée, la nana, mais après tout ça n’est pas plus mal si je ne l’ai pas dans les pattes.
    
    Je commence par les toilettes qui me semble être le plus urgent, changement des deux mécanismes de chasse d’eau et du joint de la pipe d’évacuation plus nettoyage de la merde. Je suis plutôt content du résultat. Vu que mon hôtesse n’est toujours pas levée, je passe à la remise en état de la sonnette.
    
    Il est déjà 13 h quand madame se lève enfin, revêtue de son invariable blouse et de ses tristes chaussons.
    
    — On ne peut pas dire que tu te lèves tôt.
    — Je me suis couchée très tard, répond-elle désabusée.
    — Tu as chatté sur Internet ?
    — Qui sait ? ajoute-t-elle énigmatique, en me regardant en coin avec son petit sourire moqueur.
    — Hier, en me montrant les chambres, tu m’as dit qu’il y a beaucoup de choses à jeter. Ça te dirait ...
    ... que l’on regarde ça ensemble.
    — On mange et on voit ça juste après !
    
    En début d’après-midi, nous voilà à ouvrir tous les cartons, à commencer par ceux qui puent le moisi en dessous des fenêtres. Il y a vraiment du ménage à faire, des trucs qu’elle a gardés, elle ne sait plus pourquoi. Je dois quand même lui forcer un peu la main pour qu’elle consente à se débarrasser de toutes ces vieilleries. Quelques allers-retours en bas plus tard, j’ai rempli à moi seul une des grandes poubelles de la résidence, les voisins vont être contents !
    
    Et il y aurait encore à jeter, mais pour le moment elle préfère y réfléchir. Mais ça me permet quand même d’y voir plus clair. Je décide de m’attaquer à l’électricité de ma chambre qui est toute à refaire, plus rien ne fonctionne, ni les prises ni les interrupteurs et il y a des fils apparents avec du courant dedans. Je n’ai pas le matériel pour encastrer quoi que ce soit, mais j’ai acheté des goulottes, au moins ce sera propre et fonctionnel. J’ouvre grand la fenêtre pour essayer d’éliminer toutes les odeurs de rance.
    
    Il est presque 19 h quand je termine enfin, je n’ai plus entendu parler de Marie-Anne depuis le début d’après-midi.
    
    7 – Assaut final
    
    Je la retrouve dans le living, accrochée à son ordinateur. Très concentrée, elle ne me voit pas venir, mais quand je m’approche, elle change tout de suite de fenêtre et de logiciel.
    
    — Qu’est-ce que tu faisais ?
    — Oh, rien, j’étais en train de trier mon courrier
    
    Manque de chance ...
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